Mais le moteur de recherche n'a pas l'intention de se muer en constructeur automobile, un secteur qui nécessite une expertise que l'entreprise ne possède pas, malgré ses énormes réserves de cash. C'est pourquoi le groupe californien a pris contact avec des constructeurs japonais. Toyota pourrait même devenir le partenaire privilégié de Google dans cette aventure.
Astro Teller, le patron du labo de recherche et développement Google X, a confirmé au Nikkei avoir des discussions avec plusieurs sociétés japonaises sur le sujet, et il se dit très ouvert. Parmi les entreprises contactés, on trouve aussi bien des constructeurs à proprement parler — Toyota, donc — que des fournisseurs de pièces automobiles.
Teller précise encore que Google ne souhaite pas et n'a pas les moyens de devenir constructeur de voitures. C'est pourquoi un ou des partenariats sont indispensables. Et de fait, les futurs véhicules autonomes embarquant les technologies de conduite autonome de Google ne devraient pas ressembler au prototype rondouillard et mignon.
Le principe est en fait d'appliquer au marché de l'automobile le même principe que dans le secteur de la téléphonie : proposer une plateforme logicielle et internet ouverte et gratuite, que Google finance grâce aux données récoltées sur les conducteurs.
Astro Teller, le patron du labo de recherche et développement Google X, a confirmé au Nikkei avoir des discussions avec plusieurs sociétés japonaises sur le sujet, et il se dit très ouvert. Parmi les entreprises contactés, on trouve aussi bien des constructeurs à proprement parler — Toyota, donc — que des fournisseurs de pièces automobiles.
Teller précise encore que Google ne souhaite pas et n'a pas les moyens de devenir constructeur de voitures. C'est pourquoi un ou des partenariats sont indispensables. Et de fait, les futurs véhicules autonomes embarquant les technologies de conduite autonome de Google ne devraient pas ressembler au prototype rondouillard et mignon.
Le principe est en fait d'appliquer au marché de l'automobile le même principe que dans le secteur de la téléphonie : proposer une plateforme logicielle et internet ouverte et gratuite, que Google finance grâce aux données récoltées sur les conducteurs.