Volkswagen va doubler ses investissements le secteur du tout-électrique : de 10 milliards d'euros actuellement, la somme va passer à 20 milliards à l'horizon 2030. L'ambition du groupe automobile allemand est simple et ambitieux à la fois : concurrencer Tesla. Le groupe américain a lancé avec la Model 3 une berline relativement abordable avec un premier prix à 35 000 $. Le succès est d'ores et déjà au rendez-vous et Tesla a tout mis en œuvre pour assurer des livraisons en temps et en heure.
Si Volkswagen met le paquet dans le secteur des véhicules électriques grand public, en revanche, c'est du côté des utilitaires propres que le constructeur veut prendre son temps. Là encore, le groupe laisse Tesla et d'autres prendre les devants ; le concurrent américain a une longueur d'avance : il dévoilera le 26 octobre son premier camion électrique et en partie autonome. Volkswagen propose certes des camions et des bus sans émissions, mais aucun véhicule utilitaire au catalogue 100% électrique. « Peut-être que les manufacturiers allemands ont été trop lents, c'est possible », explique Andreas Renschler, le directeur de la division camions.
Ce dernier préfère que l'entreprise prenne son temps et qu'elle vérifie « plutôt deux fois qu'une » si les standards ont bien été définis. Une attitude prudente qui va peut-être jouer des tours à Volkswagen : une fois que le marché aura été lancé, il faudra redoubler d'investissements pour s'y faire une place. Mais si le groupe allemand n'a aucun problème de liquidités…
Si Volkswagen met le paquet dans le secteur des véhicules électriques grand public, en revanche, c'est du côté des utilitaires propres que le constructeur veut prendre son temps. Là encore, le groupe laisse Tesla et d'autres prendre les devants ; le concurrent américain a une longueur d'avance : il dévoilera le 26 octobre son premier camion électrique et en partie autonome. Volkswagen propose certes des camions et des bus sans émissions, mais aucun véhicule utilitaire au catalogue 100% électrique. « Peut-être que les manufacturiers allemands ont été trop lents, c'est possible », explique Andreas Renschler, le directeur de la division camions.
Ce dernier préfère que l'entreprise prenne son temps et qu'elle vérifie « plutôt deux fois qu'une » si les standards ont bien été définis. Une attitude prudente qui va peut-être jouer des tours à Volkswagen : une fois que le marché aura été lancé, il faudra redoubler d'investissements pour s'y faire une place. Mais si le groupe allemand n'a aucun problème de liquidités…