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La Fédération des Promoteurs Immobiliers (FPI) a dévoilé ce jeudi 21 mai 2015 les chiffres des ventes d'appartements neufs pour le premier trimestre de l'année 2015. ET le moral est au beau fixe avec une hausse des ventes de 10,4%. Selon la FPI ce sont surtout des particuliers qui ont permis la croissance du marché ce qui est bon signe pour la suite des événements.
L'embellie dans le secteur a commencé fin 2014 lorsque les taux d'intérêts des prêts immobiliers étaient au plus bas. Et en ce premier trimestre 2015 pas moins de 25 826 logements neufs ont été vendus. Avec une hausse de 20% des ventes au détail contre un recul de 23% des ventes en bloc et de 7,7% des ventes de logements en résidences services, le secteur est désormais fortement porté par les particuliers.
Mais ces particuliers sont surtout des investisseurs puisque 59,4% des acheteurs acquièrent un bien pour le louer. Les primo-accédants, toutefois, continuent de souffrir des prix avec une baisse des ventes de 3,3% malgré les taux d'intérêts très bas.
Le secteur, s'il connaît une embellie indéniable, reste très fragile car porté uniquement par des taux d'intérêts très bas au niveau des crédits immobiliers. Une hausse des taux risquerait de fortement compromettre la croissance du secteur mais elle n'est pas prévue à court terme.
L'embellie dans le secteur a commencé fin 2014 lorsque les taux d'intérêts des prêts immobiliers étaient au plus bas. Et en ce premier trimestre 2015 pas moins de 25 826 logements neufs ont été vendus. Avec une hausse de 20% des ventes au détail contre un recul de 23% des ventes en bloc et de 7,7% des ventes de logements en résidences services, le secteur est désormais fortement porté par les particuliers.
Mais ces particuliers sont surtout des investisseurs puisque 59,4% des acheteurs acquièrent un bien pour le louer. Les primo-accédants, toutefois, continuent de souffrir des prix avec une baisse des ventes de 3,3% malgré les taux d'intérêts très bas.
Le secteur, s'il connaît une embellie indéniable, reste très fragile car porté uniquement par des taux d'intérêts très bas au niveau des crédits immobiliers. Une hausse des taux risquerait de fortement compromettre la croissance du secteur mais elle n'est pas prévue à court terme.