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Au quatrième trimestre 2015 la croissance de la France n’a pas bondi, pénalisée par les attentats du 13 novembre qui ont fortement impacté la période cruciale des fêtes de fin d’année. Au final, le dernier trimestre 2015 s’en sort avec 0,2% de croissance, soit ce qu’attendait l’Insee après avoir révisé ses prévisions à la suite des attentats. Avant ces événements, l’Institut tablait sur 0,3% de croissance pour la France mais les attentats lui auront coûté 2 milliards d’euros à l’économie.
En confirmant ses prévisions pour le dernier trimestre 2015, l’Insee confirme également ses prévisions pour l’année : le PIB de l’Hexagone a crût de 1,1% sur un an. Une croissance fortement accélérée puisqu’en 2014 elle n’avait été que de 0,2% sur l’ensemble de l’année. Mais pas encore suffisante pour créer des emplois stables ; pour ce faire il faut, de parole d’économistes, 1,5% de croissance annuelle.
« 2015 a été l’année de la reprise » a commenté le ministre des Finances Michel Sapin qui n’est pas revenu sur les prévisions du gouvernement pour 2016 : 1,5% sur l’ensemble de l’année. Une prévision qui est désormais plutôt optimiste.
Le FMI a, début janvier, revu la croissance mondiale à la baisse sur fonds de ralentissement de la Chine et des économies émergentes. Les prévisions de la France ont également été baissée et l’Institution ne table plus que sur 1,3% de croissance en 2016.
En confirmant ses prévisions pour le dernier trimestre 2015, l’Insee confirme également ses prévisions pour l’année : le PIB de l’Hexagone a crût de 1,1% sur un an. Une croissance fortement accélérée puisqu’en 2014 elle n’avait été que de 0,2% sur l’ensemble de l’année. Mais pas encore suffisante pour créer des emplois stables ; pour ce faire il faut, de parole d’économistes, 1,5% de croissance annuelle.
« 2015 a été l’année de la reprise » a commenté le ministre des Finances Michel Sapin qui n’est pas revenu sur les prévisions du gouvernement pour 2016 : 1,5% sur l’ensemble de l’année. Une prévision qui est désormais plutôt optimiste.
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