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Le président de la Bundesbak, Jens Weidmann, l’avait prédit dès le mois de mai 2014 et il s’attendait même à ce que la barre des 1,20 dollar soit franchie par l’euro avant le 31 décembre 2014. Au final ce sera avec quelques jours de retard que sa prévision, faite au moment où l’euro valait plus de 1,35 dollar, qu’elle s’est réalisée.
Ce niveau, très bas, est une première depuis près de neuf ans : la dernière fois où le change euro dollar avait atteint ce niveau était en 2006, soit bien avant la crise économique mondiale. Une bonne nouvelle pour le Vieux Continent qui gagne ainsi un peu de compétitivité économique. Mais ce n’est pas là encore la sortie de la crise pour la zone euro alors même que la situation politique en Grèce pourrait signer la sortie du pays de la zone euro.
En attendant, la baisse ne devrait pas être terminée. Selon les analystes e la Société Générale l’euro pourrait descendre jusqu’à 1,14 dollar cette année 2015. Chez Goldman Sachs, c’est pareil : ils prévoient une chute de l’euro à 1,15 dollar.
Une chute qui pourrait être amplifiée par la sortie de la Grèce de la zone euro mais également par une véritable politique de rachats d’actifs par la BCE, politique annoncée mais pas encore appliquée.
Ce niveau, très bas, est une première depuis près de neuf ans : la dernière fois où le change euro dollar avait atteint ce niveau était en 2006, soit bien avant la crise économique mondiale. Une bonne nouvelle pour le Vieux Continent qui gagne ainsi un peu de compétitivité économique. Mais ce n’est pas là encore la sortie de la crise pour la zone euro alors même que la situation politique en Grèce pourrait signer la sortie du pays de la zone euro.
En attendant, la baisse ne devrait pas être terminée. Selon les analystes e la Société Générale l’euro pourrait descendre jusqu’à 1,14 dollar cette année 2015. Chez Goldman Sachs, c’est pareil : ils prévoient une chute de l’euro à 1,15 dollar.
Une chute qui pourrait être amplifiée par la sortie de la Grèce de la zone euro mais également par une véritable politique de rachats d’actifs par la BCE, politique annoncée mais pas encore appliquée.