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L'information avait initialement été dévoilée par le site TechCrunch et a été confirmée par Uber avec un post sur son blog officiel publié le 2 février 2015 : Uber lance ses recherches dans l'automatisation des voitures.
Pour ce faire, forte de sa valorisation boursière de plus de 40 milliards de dollars, Uber attaque frontalement à la manière de Google (qui en est par ailleurs actionnaire) : la start-up a débauché une trentaine d'ingénieurs issus de l'Université Carnegie Mellon et du Centre national d'ingénierie robotique. Une équipe de choc pour développer ce qui sera le futur de la flotte d'Uber.
Naturellement aucune date de fin de développement ou de mise en service de ces nouvelles voitures de tourisme sans chauffeur n'a été prévue. Ne serait-ce qu'en termes de législation il reste de nombreuses barrières à franchir avant de voir réellement les voitures autonomes rouler sur les routes du monde entier.
Mais ainsi faisant Uber affiche une volonté claire : celle de supprimer, à terme, les chauffeurs de sa flotte. Une volonté que Travis Kalanick affichait déjà dans un entretien accordé au site RE/Code en mai 2014.
Les recherches sur les voitures autonomes seront menées dans un complexe à Pittsburgh pour lequel Uber a déjà investi plusieurs centaines de milliers de dollars, si ce n'est plus ; Uber a en effet récemment levé 4 milliards de dollars en fonds et dettes pour financer sa croissance.
Pour ce faire, forte de sa valorisation boursière de plus de 40 milliards de dollars, Uber attaque frontalement à la manière de Google (qui en est par ailleurs actionnaire) : la start-up a débauché une trentaine d'ingénieurs issus de l'Université Carnegie Mellon et du Centre national d'ingénierie robotique. Une équipe de choc pour développer ce qui sera le futur de la flotte d'Uber.
Naturellement aucune date de fin de développement ou de mise en service de ces nouvelles voitures de tourisme sans chauffeur n'a été prévue. Ne serait-ce qu'en termes de législation il reste de nombreuses barrières à franchir avant de voir réellement les voitures autonomes rouler sur les routes du monde entier.
Mais ainsi faisant Uber affiche une volonté claire : celle de supprimer, à terme, les chauffeurs de sa flotte. Une volonté que Travis Kalanick affichait déjà dans un entretien accordé au site RE/Code en mai 2014.
Les recherches sur les voitures autonomes seront menées dans un complexe à Pittsburgh pour lequel Uber a déjà investi plusieurs centaines de milliers de dollars, si ce n'est plus ; Uber a en effet récemment levé 4 milliards de dollars en fonds et dettes pour financer sa croissance.