C'est durant la visite en Allemagne de Mike Pence, le vice-président américain, que la Chancelière a reconnu que la valeur de l'euro était trop basse et que cela posait un problème à l'Allemagne. Malgré ce constat, Berlin ne peut pas faire grand chose : c'est la Banque centrale européenne, souveraine, qui décide de la politique monétaire de la zone euro.
Angela Merkel a cependant déclaré que la politique menée par la BCE correspondait aux besoins d'économies de pays comme le Portugal ou la Slovénie, pas à ceux de l'Allemagne. Si le pays avait encore le deutsche mark, a noté la dirigeante, sa valeur serait bien différente de celle de l'euro. Mais « il s'agit d'une politique monétaire indépendante sur laquelle je n'ai pas d'influence en tant que Chancelière allemande ».
Ces déclarations ont été faites alors que l'on a pu se plaindre, du côté de l'administration Trump, d'un euro « largement sous-évalué » par rapport à la devise américaine. Cela n'empêche pas les ventes de produits américains en Europe, comme Angela Merkel l'a fait remarquer en notant la présence en nombre d'appareils Apple : « Il y a sans doute encore de la place dans la 5e Avenue pour des voitures allemandes »…
Angela Merkel a cependant déclaré que la politique menée par la BCE correspondait aux besoins d'économies de pays comme le Portugal ou la Slovénie, pas à ceux de l'Allemagne. Si le pays avait encore le deutsche mark, a noté la dirigeante, sa valeur serait bien différente de celle de l'euro. Mais « il s'agit d'une politique monétaire indépendante sur laquelle je n'ai pas d'influence en tant que Chancelière allemande ».
Ces déclarations ont été faites alors que l'on a pu se plaindre, du côté de l'administration Trump, d'un euro « largement sous-évalué » par rapport à la devise américaine. Cela n'empêche pas les ventes de produits américains en Europe, comme Angela Merkel l'a fait remarquer en notant la présence en nombre d'appareils Apple : « Il y a sans doute encore de la place dans la 5e Avenue pour des voitures allemandes »…