Cette progression du PIB est effectivement moins forte que durant les trois derniers mois de l’année dernière, durant lesquels elle avait grimpé à 0,4% (elle a été révisée puisqu’auparavant la croissance était montée à 0,5%). Cette estimation de l’Institut national de la statistique est conforme avec les prévisions de la Banque de France : l’institution tablait effectivement sur +0,3% pour le premier trimestre.
Sur les trois premiers mois de l’année, c’est la consommation des ménages qui tire la croissance vers le haut. Elle atteint 0,1% au premier trimestre, auxquels s’ajoute 0,9% de l’investissement. En tout, la demande intérieure finale compte pour 0,4 point dans la croissance. Mais c’est le solde extérieur qui plombe le résultat final : les exportations ont ralenti, les importations ont augmenté, retranchant ainsi 0,7 point sur la progression du PIB.
Pour le second trimestre, la croissance devrait s’établir à 0,5%, selon la Banque de France. Quant à l’Insee, il estime qu’à mi-année, l’acquis de croissance pour 2017 atteindra « déjà » la hausse constatée l’an dernier (1,1%). Le gouvernement a planché sur une hypothèse de croissance de 1,5%, un peu plus que l’estimation de la Commission européenne (1,4%).
Sur les trois premiers mois de l’année, c’est la consommation des ménages qui tire la croissance vers le haut. Elle atteint 0,1% au premier trimestre, auxquels s’ajoute 0,9% de l’investissement. En tout, la demande intérieure finale compte pour 0,4 point dans la croissance. Mais c’est le solde extérieur qui plombe le résultat final : les exportations ont ralenti, les importations ont augmenté, retranchant ainsi 0,7 point sur la progression du PIB.
Pour le second trimestre, la croissance devrait s’établir à 0,5%, selon la Banque de France. Quant à l’Insee, il estime qu’à mi-année, l’acquis de croissance pour 2017 atteindra « déjà » la hausse constatée l’an dernier (1,1%). Le gouvernement a planché sur une hypothèse de croissance de 1,5%, un peu plus que l’estimation de la Commission européenne (1,4%).