La croissance mondiale, portée par de bons résultats en Chine et dans les pays en voie de développement, devrait atteindre 3,5 % en 2017 selon le FMI. C’est bien mieux que les 3,1 % de croissance enregistrés en 2016 et plus que les 3,4 % attendus auparavant par l’institution internationale. Une hausse des prévisions qui va à contre courant de ce que les experts attendaient.
L’année 2016 a été marquée par le Brexit et l’élection de Donald Trump : deux événements qui auraient dû créer un véritable cataclysme. Pour le Brexit rien n’est encore sûr, le Royaume-Uni n’étant aps encore sorti de l’Union Européenne ; pour Donald Trump, le FMI semble confiant : s’il ne fait pas de faux pas les Etats-Unis pourraient connaître une croissance de 2,3 % en 2017 contre 1,6 % en 2016. Les estimations de croissance pour le Royaume-Uni en 2017 sont, elles, de 2 %.
La zone euro bénéficie également de ce regain de croissance au niveau mondial. Si le FMI ne prévoit qu’une croissance de 1,7 % en 2017, une prévision légèrement rehaussée, c’est malgré tout une bonne nouvelle. Et même en France la situation s’améliore.
L’Hexagone ne devrait toutefois pas atteindre le 1,5 % de croissance attendu par Bercy en 2017 : le FMI table sur 1,4 %. Mais les prévisions du FMI ne tiennent pas compte du résultat de l’élection présidentielle de 2017 dont l’issue est incertaine et où les propositions des candidats sont extrêmement variées.
L’année 2016 a été marquée par le Brexit et l’élection de Donald Trump : deux événements qui auraient dû créer un véritable cataclysme. Pour le Brexit rien n’est encore sûr, le Royaume-Uni n’étant aps encore sorti de l’Union Européenne ; pour Donald Trump, le FMI semble confiant : s’il ne fait pas de faux pas les Etats-Unis pourraient connaître une croissance de 2,3 % en 2017 contre 1,6 % en 2016. Les estimations de croissance pour le Royaume-Uni en 2017 sont, elles, de 2 %.
La zone euro bénéficie également de ce regain de croissance au niveau mondial. Si le FMI ne prévoit qu’une croissance de 1,7 % en 2017, une prévision légèrement rehaussée, c’est malgré tout une bonne nouvelle. Et même en France la situation s’améliore.
L’Hexagone ne devrait toutefois pas atteindre le 1,5 % de croissance attendu par Bercy en 2017 : le FMI table sur 1,4 %. Mais les prévisions du FMI ne tiennent pas compte du résultat de l’élection présidentielle de 2017 dont l’issue est incertaine et où les propositions des candidats sont extrêmement variées.