Avec 0,2% de croissance au premier trimestre, l’économie britannique montre des signes d’essoufflement. La précédente estimation de l’ONS, l’Office des statistiques nationales, prédisait une progression du PIB de 0,3% : l’économie du pays fait donc moins bien, alors qu’au dernier trimestre 2016, elle signait une croissance solide de 0,7%. Cette fois, le pays semble bel et bien entré dans une période d’incertitude que les négociations avec l’Union européenne sur le Brexit ne devraient pas freiner.
Parmi les secteurs qui ont accusé un recul de leur croissance, celui des services est particulièrement important puisqu’il représente le pan le plus important de l’économie du pays. La croissance a été de 0,2% au premier trimestre. Les ventes au détail, l’hôtellerie, la consommation des ménages présentent également des ralentissements importants (0,3% pour la consommation, moitié moins qu’au dernier trimestre de l’an dernier). Par contre, les investissements des entreprises restent soutenus avec une progression de 0,6%.
Plus inquiétant peut-être pour les autorités britanniques : malgré la baisse de la livre vis à vis des autres monnaies internationales, les exportations des entreprises ayant enregistré un recul de 1,6%, contre des importations en hausse de 2,7%. Dans la zone euro, la moyenne de croissance au premier trimestre a été de 0,5% : le Royaume-Uni se retrouve donc en queue de peloton.
Parmi les secteurs qui ont accusé un recul de leur croissance, celui des services est particulièrement important puisqu’il représente le pan le plus important de l’économie du pays. La croissance a été de 0,2% au premier trimestre. Les ventes au détail, l’hôtellerie, la consommation des ménages présentent également des ralentissements importants (0,3% pour la consommation, moitié moins qu’au dernier trimestre de l’an dernier). Par contre, les investissements des entreprises restent soutenus avec une progression de 0,6%.
Plus inquiétant peut-être pour les autorités britanniques : malgré la baisse de la livre vis à vis des autres monnaies internationales, les exportations des entreprises ayant enregistré un recul de 1,6%, contre des importations en hausse de 2,7%. Dans la zone euro, la moyenne de croissance au premier trimestre a été de 0,5% : le Royaume-Uni se retrouve donc en queue de peloton.