Au centre des enjeux : l'indemnité versée à EDF pour compenser l'arrêt de la centrale nucléaire de Fessenheim. Alors que l'électricien attendait entre 2 à 3 milliards d'euros pour mener à rentrer dans ses frais, le ministère de l'Écologie ne consent qu'à une enveloppe de… 100 millions d'euros seulement.
Mais pour Ségolène Royal, « Le décret d'arrêt de fonctionnement doit être pris avant la fin de cette année », a-t-elle expliqué au micro d'Europe 1. Par conséquent, « le processus doit être tenu et il n'y a aucune raison qu'il ne le soit pas ». Mais voilà, ce n'est pas l'avis de l'entreprise, qui juge la somme proposée par le ministère « surréaliste ». Il est vrai qu'il y a une belle différence entre les deux chiffres.
Mais la ministre de l'Écologie et de l'Énergie ne voit aucune raison de mettre plus d'argent. Il en va de la protection des consommateurs, mais aussi des contribuables, estime Ségolène Royal. De plus, les actionnaires étrangers de la centrale (allemand et suisses) n'ont rien demandé concernant l'indemnisation. Mais les discussions se poursuivent avec EDF afin de trouver une solution au problème.
Mais pour Ségolène Royal, « Le décret d'arrêt de fonctionnement doit être pris avant la fin de cette année », a-t-elle expliqué au micro d'Europe 1. Par conséquent, « le processus doit être tenu et il n'y a aucune raison qu'il ne le soit pas ». Mais voilà, ce n'est pas l'avis de l'entreprise, qui juge la somme proposée par le ministère « surréaliste ». Il est vrai qu'il y a une belle différence entre les deux chiffres.
Mais la ministre de l'Écologie et de l'Énergie ne voit aucune raison de mettre plus d'argent. Il en va de la protection des consommateurs, mais aussi des contribuables, estime Ségolène Royal. De plus, les actionnaires étrangers de la centrale (allemand et suisses) n'ont rien demandé concernant l'indemnisation. Mais les discussions se poursuivent avec EDF afin de trouver une solution au problème.