La direction de la Fnac avait pensé avoir l'accord en poche, après la signature de la CFDT, et la CFTC et de la CGC. Celui-ci portait sur les 12 dimanches dits « du maire », durant lesquels les salariés devaient recevoir une majoration de 100% de leur rémunération (le double), avec en plus un repos compensateur.
Et pendant les 52 dimanches supplémentaires autorisés dans les ZTI, la majoration se monte à 200% pour 12 dimanches, et 100% pour les 40 autres, le tout sans repos compensateur. La CFDT, signataire de l'accord, a estimé que ce dernier comportait des garanties essentielles, ainsi que la réversibilité en cas de changement de choix de la part du salarié.
Mais FO, SUD et la CGT ne l'ont pas entendu de cette oreille. Les trois syndicats, majoritaires au sein de l'entreprise, ont annoncé qu'ils ne signeraient pas cet accord. De facto, il est donc caduque. La CGT en fait même une question de principe : au-delà des 12 dimanches inscrits dans la loi, le travail dominical est une hérésie. Il va être bien difficile pour la direction de revenir à la table des négociations.
Et pendant les 52 dimanches supplémentaires autorisés dans les ZTI, la majoration se monte à 200% pour 12 dimanches, et 100% pour les 40 autres, le tout sans repos compensateur. La CFDT, signataire de l'accord, a estimé que ce dernier comportait des garanties essentielles, ainsi que la réversibilité en cas de changement de choix de la part du salarié.
Mais FO, SUD et la CGT ne l'ont pas entendu de cette oreille. Les trois syndicats, majoritaires au sein de l'entreprise, ont annoncé qu'ils ne signeraient pas cet accord. De facto, il est donc caduque. La CGT en fait même une question de principe : au-delà des 12 dimanches inscrits dans la loi, le travail dominical est une hérésie. Il va être bien difficile pour la direction de revenir à la table des négociations.