Chez Guy Hoquet, les ventes ont ainsi progressé de 5,1% au troisième trimestre de cette année (par rapport au même trimestre de 2016). Chez Laforêt, on annonce des transactions en augmentation de 12% depuis le début de l'année. Au sein du premier réseau immobilier, on annonce une hausse des prix du mètre carré de 2,4% sur l'ensemble de la France (2 754 euros), et de 5,1% pour Paris (9 439 euros). Pour le second réseau, la progression est de 6,5% dans la capitale, et de 3,4% pour toute la France.
Guy Hoquet se veut prudent pour la suite. D'après l'agence immobilière, les prix pourraient ralentir, en particulier en province : le réseau y prévoit ainsi une « quasi-stabilité » des prix. Par ailleurs, la surface moyenne de vente est en recul : 1 mètre carré sur l'ensemble de la France, 2 mètres carrés à Paris. Un mouvement observé au troisième trimestre, qui pourrait donc s'amplifier dans les prochains mois. Selon Guy Hoquet, les acquéreurs revoient leurs ambitions à la baisse suite à l'évolution des prix de ces douze derniers mois.
L'entreprise pense ainsi que « limite du pouvoir d'achat des Français semble donc avoir été atteinte ». La prudence est aussi de mise chez Laforêt, même si on fait preuve semble-t-il d'un peu plus d'optimisme. Les cartes ne pas encore « totalement rebattues », selon le réseau immobilier. Le président de Laforêt, Yann Jéhanno, veut croire que le dernier trimestre de l'année pourrait porter quelques bonnes surprises.
Guy Hoquet se veut prudent pour la suite. D'après l'agence immobilière, les prix pourraient ralentir, en particulier en province : le réseau y prévoit ainsi une « quasi-stabilité » des prix. Par ailleurs, la surface moyenne de vente est en recul : 1 mètre carré sur l'ensemble de la France, 2 mètres carrés à Paris. Un mouvement observé au troisième trimestre, qui pourrait donc s'amplifier dans les prochains mois. Selon Guy Hoquet, les acquéreurs revoient leurs ambitions à la baisse suite à l'évolution des prix de ces douze derniers mois.
L'entreprise pense ainsi que « limite du pouvoir d'achat des Français semble donc avoir été atteinte ». La prudence est aussi de mise chez Laforêt, même si on fait preuve semble-t-il d'un peu plus d'optimisme. Les cartes ne pas encore « totalement rebattues », selon le réseau immobilier. Le président de Laforêt, Yann Jéhanno, veut croire que le dernier trimestre de l'année pourrait porter quelques bonnes surprises.
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