C’est Le Parisien Dimanche qui a obtenu confirmation de l’ouverture d’une enquête sur ce contrat évalué à 6,7 milliards d’euros (dont 4,1 milliards pour la France), autour duquel flotte un parfum de corruption. Cette enquête préliminaire porte en effet sur le chef de corruption d’agents étrangers, les magistrats français se demandant si des pots-de-vin ont été versés pour obtenir le marché. L’opération a aussi pu faire l’objet de versement de rétro-commissions.
La procureure de la République Eliane Houlette, s’est rendue au Brésil la semaine dernière dans le cadre de cette enquête, ainsi que le patron de l’OCLCIFF, l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales. Des rencontres ont été organisées avec le procureur général du Brésil ainsi qu’avec la présidente de la Cour suprême du pays.
Un scandale de corruption baptisé « lava jato » (« lavage express ») secoue actuellement le Brésil et il est l’objet d’une vaste enquête internationale. C’est dans ce cadre que le contrat français, qui comprend quatre sous-marins, a été évoqué. Du côté de DCNS l’opérateur qui construit les appareils, on dément être impliqué dans ce scandale, et on affirme que les règles sont suivies scrupuleusement.
La procureure de la République Eliane Houlette, s’est rendue au Brésil la semaine dernière dans le cadre de cette enquête, ainsi que le patron de l’OCLCIFF, l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales. Des rencontres ont été organisées avec le procureur général du Brésil ainsi qu’avec la présidente de la Cour suprême du pays.
Un scandale de corruption baptisé « lava jato » (« lavage express ») secoue actuellement le Brésil et il est l’objet d’une vaste enquête internationale. C’est dans ce cadre que le contrat français, qui comprend quatre sous-marins, a été évoqué. Du côté de DCNS l’opérateur qui construit les appareils, on dément être impliqué dans ce scandale, et on affirme que les règles sont suivies scrupuleusement.