En moyenne, les salariés intéressés par ces dispositifs (obligatoires dans les entreprises de plus de 50 salariés qui génèrent des bénéfices suffisants) ont touché une moyenne de 2 311 euros en 2014, d'après des chiffres du ministère du Travail. Cette somme est supérieure de 42 euros par rapport l'année précédente ; elle représente aussi 6,4% de la masse salariale.
Les chiffres varient selon les dispositifs choisis : la prime s'est montée à 1 301 euros au titre de l'intéressement, de 1 673 euros au titre de la participation. Des chanceux (un salarié sur trois) perçoivent les deux types d'épargne salariale. En tout, ils ont été 55,8% à bénéficier de ces dispositifs, soit 8,7 millions de salariés.
Il faut cependant nuancer une donnée : les salariés des grandes entreprises (plus de 500 personnes) sont nettement favorisés puisqu'ils ont été 92,6% à bénéficier de ces dispositifs. Dans les entreprises de moins de 50 salariés, ils n'ont été que 16,8% à en tirer profit. Malgré tout, cela représente pour tous du pouvoir d'achat supplémentaire.
Les chiffres varient selon les dispositifs choisis : la prime s'est montée à 1 301 euros au titre de l'intéressement, de 1 673 euros au titre de la participation. Des chanceux (un salarié sur trois) perçoivent les deux types d'épargne salariale. En tout, ils ont été 55,8% à bénéficier de ces dispositifs, soit 8,7 millions de salariés.
Il faut cependant nuancer une donnée : les salariés des grandes entreprises (plus de 500 personnes) sont nettement favorisés puisqu'ils ont été 92,6% à bénéficier de ces dispositifs. Dans les entreprises de moins de 50 salariés, ils n'ont été que 16,8% à en tirer profit. Malgré tout, cela représente pour tous du pouvoir d'achat supplémentaire.