Et les choses sont mal engagées pour le géant du mobilier urbain et de l’affichage publicitaire. Le dossier du groupe, allié à la SNCF et à la RATP, a été écarté par la commission d’appel d’offres. JC Decaux n’a plus qu’un mince espoir, que le Syndicat Vélib’ Métropole (toutes les communes associées à Vélib’, dont Paris) aille contre la commission. La décision est attendue mi-avril, mais il est probable que le syndicat entérine le choix de la commission.
JC Decaux entend se battre pour récupérer un contrat remporté en 2007. Le groupe a émis un communiqué ce vendredi 31 mars, dans lequel il dénonce le « dumping social » de son adversaire. La proposition de Smoove exclurait la reprise de l’ensemble des effectifs et reposerait sur du personnel sans expérience, moins nombreux et ne bénéficiant pas des meilleures conditions salariales et sociales. Le groupe demande que « toutes les précisions sur le dimensionnement des équipes ainsi que leurs conditions sociales et salariales soient rendues publiques ». Si JC Decaux ne le dit pas explicitement, mais il pourrait saisir le tribunal administratif.
Du côté de Smoove, on attend la décision du Syndicat mi-avril avant de communiquer. Quant aux employés de Vélib’, ils exigent des garanties pour le maintien de l’emploi et pour les obtenir, ils comptent organiser des « perturbations » du système. Vélib’ emploie 315 salariés.
JC Decaux entend se battre pour récupérer un contrat remporté en 2007. Le groupe a émis un communiqué ce vendredi 31 mars, dans lequel il dénonce le « dumping social » de son adversaire. La proposition de Smoove exclurait la reprise de l’ensemble des effectifs et reposerait sur du personnel sans expérience, moins nombreux et ne bénéficiant pas des meilleures conditions salariales et sociales. Le groupe demande que « toutes les précisions sur le dimensionnement des équipes ainsi que leurs conditions sociales et salariales soient rendues publiques ». Si JC Decaux ne le dit pas explicitement, mais il pourrait saisir le tribunal administratif.
Du côté de Smoove, on attend la décision du Syndicat mi-avril avant de communiquer. Quant aux employés de Vélib’, ils exigent des garanties pour le maintien de l’emploi et pour les obtenir, ils comptent organiser des « perturbations » du système. Vélib’ emploie 315 salariés.