Au paquet neutre et à cette taxe supplémentaire s’ajoute de plus la hausse de la rémunération des buralistes que les industriels du tabac devront financer. Ce surcoût est estimé à 200 millions d’euros pour l’année prochaine, et les pouvoirs publics espèrent qu’il sera intégré dans les marges des fabricants de cigarettes.
Le gouvernement cherche en tout cas à éviter toute hausse du prix du tabac jusqu’à l’élection présidentielle. Normalement, celle-ci doit intervenir le 1er avril, mais l’industrie prévoit un délai supplémentaire afin que cette question ne vienne pas polluer la campagne électorale. Il est même possible que cette hausse attende l’été prochain.
De fait, les fabricants de cigarettes ne devraient pas demander de hausse de prix du tabac immédiatement. Le ministère de l’Économie et des Finances joue la montre pour éviter d’homologuer les nouveaux prix des paquets trop tôt. L’industrie du tabac pourrait donc conserver le statu-quo au moins le temps que les choses bougent du côté de Bercy… et du nouveau gouvernement.
Le gouvernement cherche en tout cas à éviter toute hausse du prix du tabac jusqu’à l’élection présidentielle. Normalement, celle-ci doit intervenir le 1er avril, mais l’industrie prévoit un délai supplémentaire afin que cette question ne vienne pas polluer la campagne électorale. Il est même possible que cette hausse attende l’été prochain.
De fait, les fabricants de cigarettes ne devraient pas demander de hausse de prix du tabac immédiatement. Le ministère de l’Économie et des Finances joue la montre pour éviter d’homologuer les nouveaux prix des paquets trop tôt. L’industrie du tabac pourrait donc conserver le statu-quo au moins le temps que les choses bougent du côté de Bercy… et du nouveau gouvernement.