Hausse du chômage et disparitions d'entreprises : la corrélation est malheureusement imparable, même si ce sont les petites entreprises de 1 à 9 salariés qui payent le plus lourd tribut. Le nombre de TPE frappées par la crise et obligées de mettre la clef sous la porte a augmenté de 1,4 % sur 12 mois, quand le nombre de PME touchées est quasi stable (-0,1 %) et celui de grandes entreprises en baisse nette (-15,7 %). Ce sont principalement les activités d'hôtellerie et de restauration qui sont obligées de fermer, suivies de près par les entreprises de transport.
En revanche, les statistiques provisoires de la Banque de France révèlent un ralentissement du nombre de destructions d'entreprises sur les mois de mai, juin, et juillet : - 3,1 %, insuffisant cependant pour que les chiffres sur 12 mois soient meilleurs.
En revanche, les statistiques provisoires de la Banque de France révèlent un ralentissement du nombre de destructions d'entreprises sur les mois de mai, juin, et juillet : - 3,1 %, insuffisant cependant pour que les chiffres sur 12 mois soient meilleurs.