Mais le jour où cela arrivera, tout le monde voudra être prêt. L'alliance Renault-Nissan se lance donc à l'assaut du marché plus spécifique du transport à la demande et du transport public par véhicules autonomes, une activité qui pourrait bien se montrer rapidement beaucoup plus rentable que la voiture personnelle autonome. Le groupe va donc travailler dans ce domaine avec Transdev, dans le but de développer des services de mobilité liés à des flottes de véhicules électriques sans chauffeur.
Les deux partenaires vont mettre au point un système modulaire prenant en charge la réservation des véhicules par les clients, ainsi que l'exploitation des flottes de voitures par les opérateurs. Dans un premier temps, il s'agit d'abord de tester des solutions sur le terrain, avec des ZOE électriques et la plateforme de gestion et de routage de Transdev.
Transdev n'est pas le seul partenaire de Renault-Nissan dans cette aventure. L'alliance travaille aussi avec Microsoft dans le cadre du développement d'une plateforme unique pour améliorer « l'expérience » de conduite. Au Japon, le groupe planche avec DeNA sur des services commerciaux à bord des véhicules autonomes.
Les deux partenaires vont mettre au point un système modulaire prenant en charge la réservation des véhicules par les clients, ainsi que l'exploitation des flottes de voitures par les opérateurs. Dans un premier temps, il s'agit d'abord de tester des solutions sur le terrain, avec des ZOE électriques et la plateforme de gestion et de routage de Transdev.
Transdev n'est pas le seul partenaire de Renault-Nissan dans cette aventure. L'alliance travaille aussi avec Microsoft dans le cadre du développement d'une plateforme unique pour améliorer « l'expérience » de conduite. Au Japon, le groupe planche avec DeNA sur des services commerciaux à bord des véhicules autonomes.