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Ce n’est pas encore sûr que ça suffise au gouvernement pour faire taire les prévisions pessimistes du FMI et de Bruxelles, mais c’est déjà un bon point. La Banque de France prévoit une croissance de 0,4% pour le premier trimestre 2016. Si la prévision se confirme, la croissance sera deux fois plus importante que lors du dernier trimestre 2015 lorsqu’elle n’a été que de 0,2%, plombée par les attentats du 13 novembre.
La Banque de France, qui a réalisé ses prévisions en se basant sur les enquêtes de conjoncture, estime que l’industrie devrait accélérer : l’automobile, qui reprend des couleurs depuis 2015, mais également les autres secteurs prévoient une augmentation des commandes et des livraisons.
Le bâtiment, de son côté, devrait aller légèrement mieux sans pour autant atteindre des niveaux suffisants pour les entreprises de BTP. L’hôtellerie-restauration, par contre, continue de souffrir des attentats et des menaces qui pèsent sur la France, bien que la Banque de France ne fournisse aucune explication officielle.
L’accélération de la croissance pourrait néanmoins jouer en faveur du gouvernement qui s’attend à une croissance de 1,5% en 2016. Un objectif sur lequel a été construite le Budget 2016 et auquel ne croit aucune grande institution. Le FMI, l’OCDE et la Commission Européenne estiment que la France ne devrait connaître qu’une croissance de 1,3% cette année.
La Banque de France, qui a réalisé ses prévisions en se basant sur les enquêtes de conjoncture, estime que l’industrie devrait accélérer : l’automobile, qui reprend des couleurs depuis 2015, mais également les autres secteurs prévoient une augmentation des commandes et des livraisons.
Le bâtiment, de son côté, devrait aller légèrement mieux sans pour autant atteindre des niveaux suffisants pour les entreprises de BTP. L’hôtellerie-restauration, par contre, continue de souffrir des attentats et des menaces qui pèsent sur la France, bien que la Banque de France ne fournisse aucune explication officielle.
L’accélération de la croissance pourrait néanmoins jouer en faveur du gouvernement qui s’attend à une croissance de 1,5% en 2016. Un objectif sur lequel a été construite le Budget 2016 et auquel ne croit aucune grande institution. Le FMI, l’OCDE et la Commission Européenne estiment que la France ne devrait connaître qu’une croissance de 1,3% cette année.