Des augmentations et des baisses en ce 1er juillet




Le 1 Juillet 2014, par Aurélien Delacroix

La ritournelle est un vieux classique : le 1er juillet, place aux augmentations de toute sorte ! En ce mardi, premier jour du mois de juillet, la tradition ne faillit pas.


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Fort heureusement, il n'y a pas de (trop) mauvaises nouvelles, et mieux encore : il peut y en avoir de bonnes ! Le gaz voit ainsi ses tarifs baisser, de 0,1% sur les tarifs réglementés (soit 92% des consommateurs). Certes, ce n'est pas en été que l'on a le plus besoin de chauffage, mais c'est toujours bon à prendre.
 
Les contrats à temps partiels signés à partir du 1er juillet ne pourront plus être inférieurs à 24 heures hebdomadaires. Le but est de protéger les salariés  en situation précaire. Des dérogations sont disponibles pour les emplois à domicile et aux branches ayant signé un accord de cadre spécifique.
 
Le délai de carence maximal pour les indemnités des nouveaux inscrits à Pôle Emploi est désormais de 180 jours, contre 75 auparavant. Cela concerne surtout les indemnités supra-légales pour les cadres licenciés, dont les émoluments étaient très élevés. Les cadres font cependant partie des (très rares) catégories qui n'ont pas de problème d'emploi (4,2% de taux de chômage). De même, les droits rechargeables sont désormais activés : on conserve ses droits au chômage acquis, même en cas de reprise d'emploi.
 
Enfin, les tarifs de téléphonie mobile devraient baisser : les opérateurs ont désormais pour obligation de baisser leurs tarifs d'itinérance (dit aussi roaming) pour les données. Le méga-octet de données sera ainsi facturé 20 centimes d'euro chez tous les opérateurs à l'étranger.


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