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Fiat avait, jusqu'alors, été épargnée par le scandale des moteurs truqués qui a essentiellement touché le groupe Volkswagen et qui, début mai 2016, a atterrit au Japon où Mitsubishi, Nissan et Suzuki ont été épinglés. Mais l'Agence fédérale allemande de l'automobile (KBA) aurait découvert une fraude au niveau des moteurs de l'italo-américain.
Sans plus de précisions, il semblerait que l'autorité allemande en charge du dossier ait demandé à Fiat des précisions et des éclaircissements que le groupe italien a refusé de donner. FCA aurait déclaré, selon le Bild am Sonntag, qu'il ne répondrait de ses actes que devant les autorités italiennes, ce qui n'a fait que renforcer les soupçons de la KBA. Dans les divers scandales aux moteurs truqués, aucun constructeur n'a refusé jusqu'à présent de collaborer avec les autorités.
Cette absence de coopération a vivement été dénoncée jeudi 19 mai 2016 par le gouvernement allemand ce qui a conduit la KBA à prendre des mesures. Elle aurait notifié ses soupçons de fraude à la commission européenne et aux autorités italiennes pour, probablement, qu'une enquête soit ouverte.
Si ce ne sont que des soupçons, le risque que Fiat soit au centre d'un nouveau volet de la saga DieselGate est grand. Et comme pour Volkswagen, ce nouveau volet risque de frapper essentiellement les pays européens qui représentent la plus grosse partie des ventes du groupe italien avant sa fusion avec l'américain Chrysler.
Sans plus de précisions, il semblerait que l'autorité allemande en charge du dossier ait demandé à Fiat des précisions et des éclaircissements que le groupe italien a refusé de donner. FCA aurait déclaré, selon le Bild am Sonntag, qu'il ne répondrait de ses actes que devant les autorités italiennes, ce qui n'a fait que renforcer les soupçons de la KBA. Dans les divers scandales aux moteurs truqués, aucun constructeur n'a refusé jusqu'à présent de collaborer avec les autorités.
Cette absence de coopération a vivement été dénoncée jeudi 19 mai 2016 par le gouvernement allemand ce qui a conduit la KBA à prendre des mesures. Elle aurait notifié ses soupçons de fraude à la commission européenne et aux autorités italiennes pour, probablement, qu'une enquête soit ouverte.
Si ce ne sont que des soupçons, le risque que Fiat soit au centre d'un nouveau volet de la saga DieselGate est grand. Et comme pour Volkswagen, ce nouveau volet risque de frapper essentiellement les pays européens qui représentent la plus grosse partie des ventes du groupe italien avant sa fusion avec l'américain Chrysler.