Voilà une offre qui va sérieusement améliorer l’attractivité des offres d’emploi de la SNCF. L’entreprise ferroviaire a annoncé qu’à compter du mois de janvier 2019, elle proposera aux non-cadres nouvellement recrutés en Ile-de-France un logement dont le loyer sera adapté à la rémunération. Une véritable aubaine alors que le marché du logement est particulièrement tendu dans cette région. Le groupe de transport va recruter 2 000 personnes en Ile-de-France en 2019, notamment dans des secteurs techniques « très recherchés ».
SNCF Transilien et SNCF Réseau seront les principaux bénéficiaires de ces nouvelles recrues. Et pour attirer les talents, rien de mieux que de leur proposer un logement… L’entreprise va puiser dans son parc de logements sociaux, elle a également noué des contrats avec des bailleurs sociaux franciliens. Le coût de cette « garantie logement » est évalué à 20 millions d’euros par an. Ce sont les non-cadres qui pourront profiter de cette offre « à prix attractif » (les cadres auront droit à un « accompagnement » dans leur recherche de logement).
La SNCF indique que le logement sera situé à 20 kilomètres maximum du lieu de travail, et qu’il sera fourni à l’employé « dans les quatre mois » après l’arrivée à son poste. Les syndicats ont de la difficulté à croire la direction du groupe, notant que les listes d’attente sont longues pour les employés qui ont déjà fait des demandes de logements.
SNCF Transilien et SNCF Réseau seront les principaux bénéficiaires de ces nouvelles recrues. Et pour attirer les talents, rien de mieux que de leur proposer un logement… L’entreprise va puiser dans son parc de logements sociaux, elle a également noué des contrats avec des bailleurs sociaux franciliens. Le coût de cette « garantie logement » est évalué à 20 millions d’euros par an. Ce sont les non-cadres qui pourront profiter de cette offre « à prix attractif » (les cadres auront droit à un « accompagnement » dans leur recherche de logement).
La SNCF indique que le logement sera situé à 20 kilomètres maximum du lieu de travail, et qu’il sera fourni à l’employé « dans les quatre mois » après l’arrivée à son poste. Les syndicats ont de la difficulté à croire la direction du groupe, notant que les listes d’attente sont longues pour les employés qui ont déjà fait des demandes de logements.
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