Les démarches, débutées en mai, devaient aider à trouver un terrain d’entente entre ces sociétés et l’État, afin que ce dernier couvre les frais engagés pour les besoins de la taxe poids lourd. Hélas, les 200 millions d’euros espérés ne tomberont pas dans l’escarcelle des six entreprises concernées (Axxès, DKV, Eurotoll, Ressa, Telepass et Total).
Celles-ci avaient déjà commencé à approvisionner les boîtiers et les badges que les poids lourds devaient embarquer afin qu’ils puissent être enregistrés par les portiques et les bornes, une étape indispensable afin de fixer le niveau d’écotaxe auxquels ils devaient être soumis. Las, rien de tout cela n’arrivera puisque l’État a purement et simplement abandonné ce dispositif.
Et il n’est pas question pour les autorités de verser quoi que ce soit à ces fournisseurs : elles font en effet valoir que les sociétés ont commencé à acquérir « à leurs risques et périls » de l’équipement tout juste bon à partir à la poubelle. Ces dernières ont toujours la possibilité d’un recours.
Celles-ci avaient déjà commencé à approvisionner les boîtiers et les badges que les poids lourds devaient embarquer afin qu’ils puissent être enregistrés par les portiques et les bornes, une étape indispensable afin de fixer le niveau d’écotaxe auxquels ils devaient être soumis. Las, rien de tout cela n’arrivera puisque l’État a purement et simplement abandonné ce dispositif.
Et il n’est pas question pour les autorités de verser quoi que ce soit à ces fournisseurs : elles font en effet valoir que les sociétés ont commencé à acquérir « à leurs risques et périls » de l’équipement tout juste bon à partir à la poubelle. Ces dernières ont toujours la possibilité d’un recours.