L'agence de notation, qui avait été la première à abaisser la note AAA de la France, a annoncé que la perspective crédit du pays était passée de « négative » à « stable ». Un préalable avant de relever la note par la suite… Michel Sapin, le ministre de l'Économie, se réjouit de ce changement de pied : « les réformes entreprises paient puisque l'ensemble des agences de notation sont désormais confiantes dans les perspectives de la France ».
Et en effet, ce sont surtout les réformes mises en œuvre par le gouvernement qui sont saluées par S&P. « La promulgation de la loi El Khomri au mois d'août 2016, ainsi que la loi Macron vont, selon nous, contribuer à soutenir la compétitivité de la France, en réformant partiellement les professions réglementées », explique l'agence. Deux textes qui ont été particulièrement difficiles à faire voter…
Ces réformes devraient entraîner des effets « stabilisateurs » sur l'emploi, la croissance, la compétitivité et les finances publiques, selon S&P qui souligne aussi la baisse du coût du travail depuis la mise en place du CICE. Michel Sapin reprend ces arguments à son compte : « Cette révision des perspectives traduit la mise en oeuvre progressive par le Gouvernement des réformes fiscales et du marché du travail, et les effets stabilisateurs attendus de ces réformes sur l'emploi, la croissance, la compétitivité, comme sur la situation des finances publiques ».
Et en effet, ce sont surtout les réformes mises en œuvre par le gouvernement qui sont saluées par S&P. « La promulgation de la loi El Khomri au mois d'août 2016, ainsi que la loi Macron vont, selon nous, contribuer à soutenir la compétitivité de la France, en réformant partiellement les professions réglementées », explique l'agence. Deux textes qui ont été particulièrement difficiles à faire voter…
Ces réformes devraient entraîner des effets « stabilisateurs » sur l'emploi, la croissance, la compétitivité et les finances publiques, selon S&P qui souligne aussi la baisse du coût du travail depuis la mise en place du CICE. Michel Sapin reprend ces arguments à son compte : « Cette révision des perspectives traduit la mise en oeuvre progressive par le Gouvernement des réformes fiscales et du marché du travail, et les effets stabilisateurs attendus de ces réformes sur l'emploi, la croissance, la compétitivité, comme sur la situation des finances publiques ».