Pas question d'« un pied dedans, un pied dehors », d'après la chef du gouvernement. Theresa May veut sortir du marché unique, mettant en avant les priorités que sont la gestion des frontières et la souveraineté du pays. La liberté de commercer et celle de circulation des personnes sont relégués au second plan. En revanche, elle cherche à obtenir un accord « nouveau » et « équitable » entre Londres et Bruxelles.
Pas de système à la norvégienne ou à la suisse pour le Royaume-Uni. Theresa May veut négocier un statut spécifique pour son pays, associé à l'union douanière européenne comme peut l'être la Turquie. Mais aux conditions de Londres, ce qui risque de faire tousser de l'autre côté de la Manche. Et si les Européens avaient l'intention de mettre en place un accord « punitif » afin de décourager d'autres prétendants au départ, la Première ministre gronde.
Ce serait là, selon ses termes, « un acte d'automutilation calamiteux », a-t-elle mis en garde. Aucun accord vaut mieux qu'un mauvais accord, a déclaré May. Le gouvernement anglais est donc prêt à claquer la porte avec fracas, et pourquoi pas, déclencher une véritable guerre commerciale. Mais il se dit aussi en faveur de négociations rapprochées…
Pas de système à la norvégienne ou à la suisse pour le Royaume-Uni. Theresa May veut négocier un statut spécifique pour son pays, associé à l'union douanière européenne comme peut l'être la Turquie. Mais aux conditions de Londres, ce qui risque de faire tousser de l'autre côté de la Manche. Et si les Européens avaient l'intention de mettre en place un accord « punitif » afin de décourager d'autres prétendants au départ, la Première ministre gronde.
Ce serait là, selon ses termes, « un acte d'automutilation calamiteux », a-t-elle mis en garde. Aucun accord vaut mieux qu'un mauvais accord, a déclaré May. Le gouvernement anglais est donc prêt à claquer la porte avec fracas, et pourquoi pas, déclencher une véritable guerre commerciale. Mais il se dit aussi en faveur de négociations rapprochées…