Le gouvernement a répété à plusieurs reprises depuis le début de l'année qu'il maintenait sa prévision de croissance pour 2016 sur laquelle a été fondée le Budget 2016 à savoir 1,5 %. Mais cette prévision est déjà critiquée par le FMI, l'OCDE ou encore la Commission Européenne.
La Banque de France a, mercredi 9 mars 2016, revu à la baisse sa prévision de croissance pour le 1er trimestre 2016 ce qui tend à confirmer les hypothèses des institutions et à contredire le gouvernement. De 0,4 % de croissance, la Banque de France ne s'attend plus qu'à 0,3 % après son enquête mensuelle menée auprès des entreprises.
Lors de cette enquête elle a remarqué une baisse de la production dans le domaine de la pharmacie et un ralentissement de l'activité dans le domaine des services qui n'ont pas été compensés par la croissance dans l'automobile, par exemple. De même, la situation du secteur du tourisme continue d'inquiéter n'ayant toujours pas retrouvé le chemin de la croissance après les attentats de novembre 2015.
Toutefois, si la Banque de France a baissé ses prévisions, l'Insee ne s'est pas encore prononcée sur la question et maintient sa prévision de 0,4 % de croissance pour le premier trimestre 2016 pour l'instant.
Contrairement au gouvernement, le FMI et la Commission Européenne ne table que sur une croissance de 1,3 % en 2016 pour la France, l'OCDE étant encore plus pessimiste et attendant 1,2 %.
La Banque de France a, mercredi 9 mars 2016, revu à la baisse sa prévision de croissance pour le 1er trimestre 2016 ce qui tend à confirmer les hypothèses des institutions et à contredire le gouvernement. De 0,4 % de croissance, la Banque de France ne s'attend plus qu'à 0,3 % après son enquête mensuelle menée auprès des entreprises.
Lors de cette enquête elle a remarqué une baisse de la production dans le domaine de la pharmacie et un ralentissement de l'activité dans le domaine des services qui n'ont pas été compensés par la croissance dans l'automobile, par exemple. De même, la situation du secteur du tourisme continue d'inquiéter n'ayant toujours pas retrouvé le chemin de la croissance après les attentats de novembre 2015.
Toutefois, si la Banque de France a baissé ses prévisions, l'Insee ne s'est pas encore prononcée sur la question et maintient sa prévision de 0,4 % de croissance pour le premier trimestre 2016 pour l'instant.
Contrairement au gouvernement, le FMI et la Commission Européenne ne table que sur une croissance de 1,3 % en 2016 pour la France, l'OCDE étant encore plus pessimiste et attendant 1,2 %.