Journal de l'économie

Envoyer à un ami
Version imprimable

Gérer une entreprise en Suisse, quelles différences avec la France ?





Le 23 Mars 2020, par Partenaire

Vous avez réussi à implanter votre projet ou votre firme en Suisse ? C'est déjà une très belle réussite. Maintenant, la question est de savoir comment le gérer convenablement puisque le domaine managérial en France diffère de celui en Suisse. Vous constaterez sûrement quelques cas similaires. Cependant, un écart est tout de même constaté concernant les facteurs d'embauche des employés. Les points sur cette différence et comment y faire face.


Gérer son entreprise en Suisse grâce à des professionnels sur place


Même si vous avez le profil idéal du parfait entrepreneur français, sachez que le système managérial et les habitudes des entreprises en Suisse ne sont pas forcément les mêmes que les vôtres. Si vous avez décidé de ne rien laisser au hasard, tout en n'envisageant aucunement l'échec, l'idéal serait de faire appel à un bureau d'expert implanté sur les lieux. Ainsi, vous n'aurez plus à plonger dans la recherche d'un local commercial adapté. Vous vous exempterez aussi des démarches administratives et des études de la culture managériale suisse. Avec l'aide de personnes expérimentées comme chez AX Fiduciaire, vous bénéficierez d'un accompagnement sur mesure pour votre entreprise implantée en Suisse, notamment sur les prestations suivantes :
  • service de domiciliation,
  • suivis comptable et financier,
  • conseils financiers et fiscaux,
  • réglementations et législation liées à la gestion d'entreprise en Suisse.
 

Prendre en compte la culture managériale


En Suisse, la culture managériale se veut un tantinet décalée par rapport à celle de la France. Même si le pays est accessible en franchissant juste une frontière, les pratiques dans le secteur professionnel restent assez différentes. En France, par exemple, on a l'habitude de se baser sur les certificats et les diplômes des employés. Plus explicitement, les salariés sont avant tout jugés par leur cursus que par leurs compétences ou leurs expériences.
Les entreprises suisses ne fonctionnent pas sur ce même principe. En effet, les employés suisses sont évalués en fonction de leurs compétences, de leurs expériences et de leurs capacités. Même chose pour la relation employeur-salarié. En Suisse, il est de coutume de consulter ses employés pour une prise de décision relative au bon fonctionnement de l'entreprise. Une pratique qui ne s'applique pas forcément dans les régions de l'Hexagone.
Cette culture managériale devra être considérée en fonction du contexte et du pays d'implantation de l'entreprise, notamment la Suisse. Ces particularités, qui semblent anodines, ont participé au déclin de plusieurs entreprises françaises qui ont voulu se faire une place dans le paysage suisse sans l'aide d'une société fiduciaire.

Les aides financières destinées aux entreprises


Si, en France, les entreprises nouvellement créées ou non sont souvent sollicitées par l'État, en Suisse, ce dernier ne verse pas directement d'aide financière à une entreprise. Ce sont les organismes indépendants qui soutiennent financièrement les entreprises, en fonction de quelques critères de sélection.

Ces aides concernent la majorité des entrepreneurs suisses, car dès lors que votre entreprise est créée, vous disposez d'un statut d'entrepreneur suisse, une fois toutes les démarches et inscriptions terminées. Ainsi, que vous soyez une firme, une TPE ou une PME, plusieurs organismes peuvent vous aider matériellement et/ou financièrement, et c'est là que le fiduciaire sera en mesure de vous venir en aide grâce à ses connaissances en matière de gestion d'entreprise en Suisse.



Nouveau commentaire :
Twitter

Le JDE promeut la liberté d'expression, dans le respect des personnes et des opinions. La rédaction du JDE se réserve le droit de supprimer, sans préavis, tout commentaire à caractère insultant, diffamatoire, péremptoire, ou commercial.

France | Mémoire des familles, généalogie, héraldique | International | Entreprises | Management | Lifestyle | Blogs de la rédaction | Divers | Native Advertising | Juris | Art & Culture | Prospective | Immobilier, Achats et Ethique des affaires | Intelligence et sécurité économique - "Les carnets de Vauban"



Les entretiens du JDE

Tarek El Kahodi, président de l'ONG LIFE : "L’environnement est un sujet humanitaire quand on parle d’accès à l’eau" (2/2)

Tarek El Kahodi, président de l'ONG LIFE : "Il faut savoir prendre de la hauteur pour être réellement efficace dans des situations d’urgence" (1/2)

Jean-Marie Baron : "Le fils du Gouverneur"

Les irrégularisables

Les régularisables

Aude de Kerros : "L'Art caché enfin dévoilé"

Robert Salmon : « Voyages insolites en contrées spirituelles »

Antoine Arjakovsky : "Pour sortir de la guerre"











Rss
Twitter
Facebook