(c) Shutterstock/EconomieMatin
Un départ en catimini pour Lepaon, qui traine derrière lui toute une batterie de casseroles, des travaux princiers de son bureau et de sa maison au versement d'une prime jugée un rien abusive. Les scandales du passage Lepaon étant du passé, il faut désormais à la syndicale lui trouver un remplaçant.
Ce lundi 12 janvier, Philippe Martinez, le patron de la fédération de la métallurgie, a déposé sa candidature au poste de secrétaire général. Cette proposition a été faite devant la Commission exécutive du syndicat, sorte de gouvernement de l'organisation. Mais en bout de course, c'est le parlement du syndicat qui aura le dernier mot.
On sait peu de choses sur le potentiel successeur de Thierry Lepaon — pour tout dire, on ignore même sa date de naissance que l'intéressé n'a jamais voulu donner. On connait en revanche son parcours au sein de la CGT : il a fait sa carrière chez Renault, sur le site de Boulogne-Billancourt, où il a été délégué syndical central.
Patron depuis 2008 de la fédération des métaux, la troisième plus importante de la centrale syndicale, il ne fait partie de la Commission exécutive que depuis mars 2013.
Ce lundi 12 janvier, Philippe Martinez, le patron de la fédération de la métallurgie, a déposé sa candidature au poste de secrétaire général. Cette proposition a été faite devant la Commission exécutive du syndicat, sorte de gouvernement de l'organisation. Mais en bout de course, c'est le parlement du syndicat qui aura le dernier mot.
On sait peu de choses sur le potentiel successeur de Thierry Lepaon — pour tout dire, on ignore même sa date de naissance que l'intéressé n'a jamais voulu donner. On connait en revanche son parcours au sein de la CGT : il a fait sa carrière chez Renault, sur le site de Boulogne-Billancourt, où il a été délégué syndical central.
Patron depuis 2008 de la fédération des métaux, la troisième plus importante de la centrale syndicale, il ne fait partie de la Commission exécutive que depuis mars 2013.
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