Anne Coffinier est la fondatrice de la Fondation Kairos. Après un parcours l’ayant mené de Normale Sup Ulm à la diplomatie en passant par l’Ena, cette personnalité atypique s’est lancée dans un...
La SNCF veut faire revenir les clients dans ses trains. Les taux d'occupation étant encore faibles, l'entreprise met en place des mesures de relance commerciale.
L'économie française fait partie de celles qui ont le plus souffert des mesures de confinement, souligne l'OFCE dans un nouveau rapport. En cause notamment, la place importante qu'occupent des secteurs très impactés par le coronavirus.
Entre les mouvements sociaux et la crise sanitaire, la SNCF et l'ensemble des opérateurs de transport ont essuyé de lourdes pertes qu'ils vont devoir combler d'une manière ou d'une autre.
Les nouvelles estimations économiques du gouvernement pour l'année 2020 donnent le vertige. Déficit public, dette, PIB qui dégringole… Malgré tout, Gérald Darmanin voit « le retour de la croissance économique ».
Les commerçants locataires aux prises avec les difficultés du confinement n'auront pas à vivre sous l'épée de Damoclès du paiement de leur loyer : les bailleurs leur octroie trois mois de répit.
Le groupe de luxe LVMH pourrait finalement ne pas s'emparer du joaillier américain Tiffany. La transaction à près de 15 milliards d'euros est remise en question en raison de la situation économique actuelle.
La perspective d'atteindre un taux de chômage à 7% à la fin du quinquennat, en 2022, a du plomb dans l'aile. Les mesures de confinement qui ont entraîné la paralysie de l'économie va faire repartir le chômage à la hausse.
Emprunter pour acheter un logement est devenu plus cher depuis la sortie du confinement. Les particuliers et les ménages subissent la frilosité des banques.
Un « énorme trou d'air » : c'est ainsi que Bruno Le Maire qualifie la dégringolade du produit intérieur brut français pour l'année 2020. Le mot n'est pas trop fort au vu de la nouvelle estimation du ministre de l'Économie.
Pendant la crise sanitaire, les finances publiques ont été là pour soutenir l'économie à bout de bras, et elles continuent de le faire en attendant que l'activité retrouve un niveau plus élevé. Mais il faut s'attendre à de mauvaises nouvelles.
La nouvelle sera un soulagement pour de nombreux commerçants : Bercy a confirmé le report des soldes d'été. De quoi permettre de reconstituer une partie de la trésorerie perdue durant le confinement, a souligné Bruno Le Maire.
Les masques de protection se sont arrachés dans les supermarchés et hypermarchés. Depuis le 4 mai et l'autorisation donnée à la grande distribution d'en vendre, ils ont représenté un chiffre d'affaires de près de 100 millions d'euros.
La baisse du produit intérieur brut français a été importante au premier trimestre en raison des mesures pour lutter contre la propagation du coronavirus. Mais elle est moins élevée que prévu.
Une nouvelle piste prometteuse dans la lutte universelle contre le Covid-19. La biotech française AB Science a reçu l’autorisation de l’Agence française du médicament (ANSM) de lancer une étude...
Le chômage au mois d'avril a connu une très forte hausse, selon la Dares, le service statistiques du ministère du Travail. Il fallait s'y attendre, mais est-ce le retour du chômage de masse ?
La reprise de l'économie sera prudente et progressive. Les estimations de l'Insee montre qu'au deuxième trimestre, l'activité dans l'Hexagone se contractera de 20%.
La filière automobile va avoir du mal à se redresser après le confinement et la crise sanitaire du coronavirus. Emmanuel Macron a présenté un plan de relance de l'industrie ce mardi 26 mai.
Les commerçants vont bénéficier d'un délai supplémentaire pour préparer les soldes d'été. Alors que la période de promotions devait débuter le 24 juin, Bruno Le Maire s'est dit en faveur d'un report.
Le gouvernement va commencer à réduire le niveau de la prise en charge par l'État du chômage partiel. À partir du 1er juin, les entreprises devront prendre une part plus importante, à l'exception de celles des secteurs toujours fermés.