Malgré la guerre commerciale liée à l'instauration de tarifs douaniers, les entreprises n'ont aucune difficulté à verser de substantiels dividendes à leurs actionnaires. Au deuxième trimestre, ils se sont montés à 497,4 milliards de dollars, un chiffre en progression de 12,9% par rapport à l'année dernière. Les pays les plus généreux en la matière se trouvent en Europe, où les entreprises ont versé 176,5 milliards de dollars, soit 18,7% de mieux. Du jamais vu depuis le second trimestre 2015.
Pour ce qui concerne la France, là aussi les actionnaires n'ont pas à se plaindre : les dividendes se sont établis à 50,9 milliards de dollars, ce qui représente une progression sensible de 23,5% par rapport à la même période de l'an dernier. En fait, il n'y a guère que EDF et Engie qui aient réduit leurs dividendes durant ce trimestre… L'Hexagone se classe, avec les États-Unis et le Japon, parmi les pays qui se montrent le plus généreux envers les actionnaires. La France demeure toutefois loin derrière Singapour, où les dividendes ont grimpé de 46,9%.
En Amérique du Nord, la situation est plus contrastée. Les entreprises canadiennes ont ainsi versé 10,6% de dividendes supplémentaires au deuxième trimestre, contre 4,5% « seulement » pour les États-Unis. C'est General Electric qui a fait tomber la moyenne en raison de ses difficultés. Mais la guerre commerciale à l'horizon pourrait peser bien plus encore, du moins si les menaces de mise en place de tarifs douaniers se confirmaient.
Pour ce qui concerne la France, là aussi les actionnaires n'ont pas à se plaindre : les dividendes se sont établis à 50,9 milliards de dollars, ce qui représente une progression sensible de 23,5% par rapport à la même période de l'an dernier. En fait, il n'y a guère que EDF et Engie qui aient réduit leurs dividendes durant ce trimestre… L'Hexagone se classe, avec les États-Unis et le Japon, parmi les pays qui se montrent le plus généreux envers les actionnaires. La France demeure toutefois loin derrière Singapour, où les dividendes ont grimpé de 46,9%.
En Amérique du Nord, la situation est plus contrastée. Les entreprises canadiennes ont ainsi versé 10,6% de dividendes supplémentaires au deuxième trimestre, contre 4,5% « seulement » pour les États-Unis. C'est General Electric qui a fait tomber la moyenne en raison de ses difficultés. Mais la guerre commerciale à l'horizon pourrait peser bien plus encore, du moins si les menaces de mise en place de tarifs douaniers se confirmaient.