Tout d'abord, les mauvaises nouvelles. Le champagne a connu un recul de ses ventes en volume de 2,1% l'an dernier. Le principal responsable, c'est le marché britannique. Il s'y est vendu 8,7% de bouteilles en moins, soit 31,19 millions d'unités. Le marché français a aussi fait grise mine avec une baisse de 2,5% (157,7 millions de bouteilles). Malgré ces déceptions, le secteur signe une seconde année record en termes de valeur avec un chiffre d'affaires de 4,71 milliards d'euros (-0,6%). L'année précédente, le champagne avait engrangé des revenus record de 4,74 milliards.
Parmi les satisfactions annuelles, le champagne rosé a tiré son épingle du jeu avec une croissance des exportations de bouteilles de 8,6%. Les cuvées de prestige ont également signé une jolie année avec 4,6% d'exportations supplémentaires. La clientèle est de plus en plus friande de cuvées rares, celles qui présentent les marges les plus intéressantes.
Parmi les pays en croissance, l'Italie et les Pays-Bas se signalent avec respectivement 6,4% et 6,3% de hausse en valeur. Les États-Unis affiche une solide augmentation de 4,9%. La Scandinavie (Danemark, Suède, Finlande et Norvège) ont connu une croissance de 3,5%, l'Allemagne de 3,4% et le Japon de 3%. En bout de course, le secteur s'en sort plutôt bien mais les incertitudes liées au Brexit et à la politique protectionniste de l'administration Trump risquent de peser cette année.
Parmi les satisfactions annuelles, le champagne rosé a tiré son épingle du jeu avec une croissance des exportations de bouteilles de 8,6%. Les cuvées de prestige ont également signé une jolie année avec 4,6% d'exportations supplémentaires. La clientèle est de plus en plus friande de cuvées rares, celles qui présentent les marges les plus intéressantes.
Parmi les pays en croissance, l'Italie et les Pays-Bas se signalent avec respectivement 6,4% et 6,3% de hausse en valeur. Les États-Unis affiche une solide augmentation de 4,9%. La Scandinavie (Danemark, Suède, Finlande et Norvège) ont connu une croissance de 3,5%, l'Allemagne de 3,4% et le Japon de 3%. En bout de course, le secteur s'en sort plutôt bien mais les incertitudes liées au Brexit et à la politique protectionniste de l'administration Trump risquent de peser cette année.