Nestlé a expliqué sa décision en mettant l’accent sur une approche plus globale de la durabilité. Plutôt que de compenser comme beaucoup d’autres groupes ses émissions de carbone par la plantation d’arbres ou le soutien à des projets d’énergie renouvelable, l’entreprise souhaite se concentrer sur la réduction réelle de ces émissions. Elle vise à transformer en profondeur ses opérations et ses chaînes d’approvisionnement pour réduire l’empreinte carbone à la source.
En se focalisant sur la réduction effective des émissions à la source, la société s’engage à avoir un impact réel et contribuer de manière significative à la lutte contre le changement climatique. Pour cela elle devra trouver des solutions innovantes pour réduire ses émissions tout en maintenant la qualité et la disponibilité de ses produits. Cela demandera une collaboration étroite avec des fournisseurs, des experts et des organisations gouvernementales afin de s’assurer que les efforts seront soutenus et bénéficieront d’une expertise diversifiée. L’entreprise devra s’engager dans une approche que j’ai conceptualisée sous le terme « d’achats régénératifs », méthode qui permet de renouveler les écosystèmes naturels comme business, en tentant de les restaurer en leur rendant ce qui leur a été emprunté pendant des décennies.
La décision de Nestlé de ne plus être neutre en carbone a également suscité des questionnements quant à l’impact potentiel sur son image de marque. L’entreprise a longtemps été critiquée pour ses pratiques environnementales, et cette décision pourrait être interprétée comme un recul. Toutefois, la société s’engage à fournir une transparence totale sur ses efforts de réduction des émissions de carbone et à rendre compte publiquement de ses progrès.
Ce changement de cap représente un défi considérable, mais aussi une opportunité de montrer l’exemple et d’inspirer d’autres entreprises à suivre le même chemin. Il faut espérer que les actions de Nestlé auront un effet d’entraînement. En adoptant une approche régénérative, c’est-à-dire plus holistique de la durabilité, l’entreprise peut influencer positivement ses pairs et encourager des pratiques plus respectueuses de l’environnement à grande échelle.
En se focalisant sur la réduction effective des émissions à la source, la société s’engage à avoir un impact réel et contribuer de manière significative à la lutte contre le changement climatique. Pour cela elle devra trouver des solutions innovantes pour réduire ses émissions tout en maintenant la qualité et la disponibilité de ses produits. Cela demandera une collaboration étroite avec des fournisseurs, des experts et des organisations gouvernementales afin de s’assurer que les efforts seront soutenus et bénéficieront d’une expertise diversifiée. L’entreprise devra s’engager dans une approche que j’ai conceptualisée sous le terme « d’achats régénératifs », méthode qui permet de renouveler les écosystèmes naturels comme business, en tentant de les restaurer en leur rendant ce qui leur a été emprunté pendant des décennies.
La décision de Nestlé de ne plus être neutre en carbone a également suscité des questionnements quant à l’impact potentiel sur son image de marque. L’entreprise a longtemps été critiquée pour ses pratiques environnementales, et cette décision pourrait être interprétée comme un recul. Toutefois, la société s’engage à fournir une transparence totale sur ses efforts de réduction des émissions de carbone et à rendre compte publiquement de ses progrès.
Ce changement de cap représente un défi considérable, mais aussi une opportunité de montrer l’exemple et d’inspirer d’autres entreprises à suivre le même chemin. Il faut espérer que les actions de Nestlé auront un effet d’entraînement. En adoptant une approche régénérative, c’est-à-dire plus holistique de la durabilité, l’entreprise peut influencer positivement ses pairs et encourager des pratiques plus respectueuses de l’environnement à grande échelle.