Création de valeur
« Shaping Suez 2030 », c'est le nom de ce plan stratégique qui doit « améliorer la création de valeur pour toutes les parties prenantes ». Cela passe par un ambitieux programme de cession : le groupe compte vendre pour 3 à 4 milliards d'euros d'actifs sur les quatre prochaines années. Tous les secteurs seront concernés, y compris celui de la collecte des déchets, une des activités historiques de Suez.
Avec cet apport d'argent frais, l'entreprise va investir dans des secteurs en pointe comme les nouvelles technologies, et prendre toute sa place sur des marchés géographiques porteurs de croissance, comme en Chine ou aux États-Unis. Suez entend également s'adresser davantage aux entreprises avec le développement de nouvelles solutions en direction de cette clientèle.
Avec cet apport d'argent frais, l'entreprise va investir dans des secteurs en pointe comme les nouvelles technologies, et prendre toute sa place sur des marchés géographiques porteurs de croissance, comme en Chine ou aux États-Unis. Suez entend également s'adresser davantage aux entreprises avec le développement de nouvelles solutions en direction de cette clientèle.
Programme d'économies
L'autre volet de ce plan stratégique, c'est la mise en place d'un programme d'économies évaluées à un milliard d'euros sur quatre ans. La moitié devra être réalisé dès 2021. Pour y parvenir, Suez va vendre plusieurs de ses biens immobiliers, et l'entreprise compte également sur les départs à la retraite. Pas question d'évoquer d'éventuelles suppressions d'emplois même si la menace plane.
Suez, qui réalise 17 milliards d'euros de chiffres d'affaires par an, veut aussi redorer le blason de son action en Bourse ainsi que celui de son flux net de trésorerie. D'ici 2021, le groupe devra réaliser un bénéfice par action récurrent de 0,8 euro, et un free cash flow de 500 millions d'euros. Quant à la dette, elle devra représenter de 2,8 à 3 fois l'Ebitda du groupe.
Suez, qui réalise 17 milliards d'euros de chiffres d'affaires par an, veut aussi redorer le blason de son action en Bourse ainsi que celui de son flux net de trésorerie. D'ici 2021, le groupe devra réaliser un bénéfice par action récurrent de 0,8 euro, et un free cash flow de 500 millions d'euros. Quant à la dette, elle devra représenter de 2,8 à 3 fois l'Ebitda du groupe.