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Richelieu et la fondation de l’État moderne





Le 19 Avril 2023, par Olivier de Maison Rouge

Nous poursuivons notre cycle sur les figures de la Grande stratégie en nous penchant sur celle du Cardinal de Richelieu dont l’ombre est ravivée par le nouvel épisode cinématographique des Mousquetaires.


Richelieu et la fondation de l’État moderne
Le Cardinal de Richelieu a été l’artisan majeur, l’architecte en chef de la grandeur des Bourbons. Il a fondé les structures d’un État moderne et tout à la fois stratège. Ce faisant, il a largement contribué à unifier la France et la structurer en tournant la page du Moyen-Âge et celle de la Renaissance. Son action auprès de Louis XIII suffit à consacrer les leçons essentielles du redressement français, après les guerres de religion qui avaient laissé une France exsangue.
 
Son plus grand legs, posthume, aura été son testament politique [1] qui nous délivre encore à travers les siècles de nombreux et riches enseignements.
 
Son art politique s’est exercé dans de nombreux domaines tels que la marine, l’urbanisme, l’exercice institutionnel, les arts, contribuant à faire d’une France puissante, administrée, un préalable au grand règne du Roi Soleil.
 
Nous avons ici puisé pour une grande partie les discours savamment inscrits dans son Testament politique :
 
Avec un brin de mégalomanie qui lui appartient assurément, le cardinal – qui a su obtenir titres et privilèges tout au long de l’exercice de ses fonctions de Premier ministre, qu’il a d’ailleurs institué et défini pour la première fois dans l’histoire de la monarchie française – énonce tout d’abord l’état affaibli de la France qu’il trouvât à sa prise de fonctions auprès de Louis XIII :
 
« Je puis dire avec vérité que les huguenots partageaient l’état avec elle [Sa Majesté], que les grands se conduisaient comme s’ils n’eussent pas été ses sujets, et les plus puissants gouverneurs des provinces comme s’ils eussent été souverains en leur charge. (…) Je puis dire encore que les alliances étrangères étaient méprisées, les intérêts particuliers préférés aux publics, en un mot, la dignité de la Majesté Royale tellement ravalée et si différente de ce qu’elle devait être par le défaut de ceux qui avaient alors la principale conduite de vos affaires, qu’il était presque impossible de la reconnaître. (…) Le mauvais état de vos affaires semblait vous contraindre à des résolutions précipitées sans élection de temps et de moyens et, cependant, il fallait faire choix en tous les deux pour tirer profit du changement que la nécessité exigeait de votre prudence. »
 
Gouverner c’est prévoir
 
S’il n’est évidemment pas l’auteur de cette maxime, en grand commis d’État zélé, il sait combien il est important dans le choix d’une décision politique d’en mesurer préalablement les conséquences, mais surtout de posséder de tous les éléments formant la « connaissance préalable » (selon Sun Tzu) qu’on pourrait nommer le renseignement :
 
« Rien n’est plus nécessaire au gouvernement d’un État que la prévoyance, puisque, par son moyen, on peut aisément prévenir beaucoup de maux qui ne se pourraient guérir qu’avec de grandes difficultés quand ils sont arrivés. Ainsi que le médecin qui sait prévenir les maladies est plus estimé que celui qui travaille à les guérir, ainsi les ministres d’État doivent-ils souvent se remettre devant les yeux et représenter à leurs maîtres qu’il est plus important de considérer l’avenir que le présent et qu’il est des maux comme des ennemis d’un État, au-devant desquels il vaut mieux s’avancer que de se réserver à les chasser après leur arrivée.
Ceux qui en useront autrement tomberont en de grandes confusions auxquelles il sera bien difficile d’apporter ensuite du remède. » [2]
(…) « La bonne conscience et la pénétration d’un esprit judicieux qui, savant au cours des affaires, connaît presque aussi certainement le futur que le présent, que le jugement médiocre par la vue des choses mêmes, garantira cette pratique de mauvaise suite. » [3]
 
La pratique d’une grande diplomatie
 
Dans un contexte international où la France doit composer avec des puissances voisines ennemies, prise en étau entre les protestants du Nord de l’Europe, et les catholiques espagnols qui voudraient dominer la terre des Bourbons, le Cardinal de Richelieu nous livre encore quelques leçons de diplomatie, prémices d’une politique de rayonnement international de la France à travers ce qui sera son réseau d’ambassades et de consulats :
 
« J’ose dire hardiment que négocier sans cesse, ouvertement ou secrètement, en tous lieux, encore même qu’on n’en reçoive pas un fruit présent et que celui qu’on en peut attendre à l’avenir ne soit pas apparent, est chose tout à fait nécessaire pour le bien des États. (…) Entre les semences, il s’en trouve qui produisent plus tôt leur fruit les unes que les autres. Il y en a qui ne sont pas plutôt en terre qu’elles germent et poussent une pointe au-dehors, et d’autres y demeurent fort longtemps avant que de produire aucun effet. (…) Il faut agir partout, près et loin. »
 
« Les rois doivent bien prendre garde aux traités qu’ils font, mais quand ils sont faits, ils doivent les observer avec religion. (…) il est tout à fait nécessaire d’être exact au choix des ambassadeurs et autres négociations (…). La facilité de la corruption de certains esprits est quelquefois si grande et la démangeaison qu’ont quelques autres, que ne sont si faibles ni si méchants, de faire quelque chose est souvent si extraordinaire que, s’ils ne sont retenus dans les bornes qui leur sont prescrites par la crainte de leur perte absolue, il s’en trouvera toujours qui se laisseront plutôt aller à faire de mauvais traités que de n’en faire point. » [4]
 
Au service de l’État
 
Souhaitant doter le service de l’État de grands commis incorruptibles moralement et financièrement, constituant l’architecture de cet État moderne qu’il aura cherché à façonner tout au long de l’exercice de ses fonctions, le Cardinal nous précise :
 
« il est aisé de concevoir combien il est dangereux de mettre aux principales charges de l’État des personnes sans expérience, donnant lieu, par ce moyen, à des apprentis de faire des coups d’essai en des occasions où ceux des maîtres et les chefs-d’œuvre sont nécessaires. Rien n’est plus capable de ruiner un État qu’un tel procédé, vraie source de toutes sortes de désordres.
Un ambassadeur mal choisi pour faire un grand traité peut, par son ignorance, porter un notable préjudice. Un général d’armée incapable d’un tel emploi est capable de hasarder mal à propos toute la fortune de son maître et le bonheur de son État. Un gouverneur d’une place importante, destitué des conditions nécessaires à sa charge, peut, en un instant, tellement avancer la ruine de tout un Royaume qu’à peine un siècle pourra-t-il réparer ses fautes. J’ose dire au contraire que, si tous ceux qui sont dans les emplois publics en étaient dignes, les États seraient non seulement exempts de beaucoup d’accidents qui troublent leur repos, mais jouiraient même d’une félicité indicible. » [5]
 
Si la France n’a pas de constitution à l’époque, à l’exception des lois saliques et des règles de tradition verbales instituées au fil du temps, Richelieu va être véritablement le premier à s’attribuer un rôle de Premier ministre, qui perdurera après lui, ainsi qu’à instaurer un Conseil du Roi, ancêtre du gouvernement :
 
« Un prince capable est un grand trésor dans un État. Un Conseil habile et tel qu’il doit être n’en est pas un moindre, mais le concert de tous les deux ensemble, puisque c’est de là que dépend la félicité des États. »
 
En matière d’influence, pour assurer la connaissance de l’action de l’État, et plus largement la réputation du Roi (et la sienne par là même), il va favoriser La Gazette, qui deviendra un véritable journal officiel, dont les informations seront dûment vérifiées en amont par les services du Cardinal [6].
 
Un État puissant
 
Dans l’esprit de Richelieu, fonder un État moderne ne signifie pas seulement administrer, mais qui acquiert les conditions de sa puissance : apaisement intérieur, commerce fructueux, économie prospère, développement des savoir-faire et des arts, thalassocratie et expansion maritime.
 
C’est donc la recherche de la puissance qui gouverne l’action du Cardinal ministre :
 
« La puissance étant une des choses les plus nécessaires à la grandeur des rois et au bonheur de leur gouvernement, ceux qui ont la principale conduite d’un État sont particulièrement obligés de ne rien omettre qui puisse contribuer à rendre leur maître si autorisé qu’il soit, par ce moyen, considéré de tout le monde.
(…) il est certain qu’entre tous les principes capables de mouvoir un État, la crainte, qui est fondée en l’estime et en la révérence de la force, est celui qui intéresse davantage chacun à faire son devoir. Si ce principe est de grande efficace au respect du dedans des États, il n’en a pas moins au regard du dehors, les sujets et les étrangers regardant avec mêmes yeux une puissance redoutable ; les uns et les autres s’abstiennent d’offenser un prince qu’ils reconnaissent être en état de leur faire du mal s’il en a la volonté. »
 
(…) « Un prince doit être puissant par sa réputation, par un raisonnable nombre de gens de guerre continuellement entretenus, par une notable somme de deniers dans ses coffres pour subvenir aux dépenses qui surviennent souvent lorsqu’on y pense le moins, et, enfin, par la possession du cœur de ses sujets.
(…) La réputation est d’autant plus nécessaire aux princes que celui duquel on a bonne opinion fait plus avec son seul nom que ceux qui ne sont pas estimés avec des armées. » [7]
 
Parmi les tâches que s’est assignées le Cardinal, c’est aussi le rayonnement de la France par les Arts et la connaissance. C’est dans cet esprit qu’il fit bâtir le Palais Cardinal (devenu ensuite le Palais Royal par legs du Cardinal) qui veut être résolument une vitrine architecturale du savoir-faire français. Le bâtiment d’une conception alors très moderne pour l’époque (que l’on nomme aujourd’hui « classique »), à la perpendiculaire du Château du Louvre, au cœur de la rive politique de Paris, abrite désormais le Conseil d’État, le Conseil constitutionnel et le ministère de la Culture : tout un symbole.
 
De même, il fonde l’Académie française, faisant de la France une terre des lettres, permettant à Louis XIII d’affirmer :
 
« Notre très cher et très aimé cousin le cardinal duc de Richelieu nous a présenté qu’une des plus glorieuses marques de la félicité d’un État était que les sciences et les arts y fleurissent et que les lettres y fussent en honneur aussi bien que les armes » [8] .
 
Se faisant également collectionneur, il favorise le développement des manufactures de meubles et les ateliers de peinture, contribuant à l’essor de tous les arts qui feront la gloire de la France en particulier sous Louis XIV.
 
La défense du territoire et la puissance militaire
 
Précédant Vauban et ses places fortes qui feront « le Pré Carré », Richelieu, qui a participé au siège de La Rochelle est un des inventeurs de l’État-nation, à savoir un pays protégé par ses frontières envers ses ennemis :
 
« Il faudrait être privé de sens commun pour ne pas connaître combien il est important aux grands États d’avoir leurs frontières bien fortifiées. (…) Une frontière bien fortifiée est capable ou de faire perdre aux ennemis l’envie qu’ils pouvaient avoir de former des desseins contre un État, ou, au moins, d’arrêter leur cours et leur impétuosité s’ils sont assez osés pour venir à la force ouverte. Les subtils mouvements de notre nation ont besoin d’être garantis de la terreur qu’elle pourrait recevoir d’une attaque imprévue, si elle ne savait que l’entrée du Royaume a des remparts si forts qu’il n’y a point d’impétuosité étrangère assez puissante pour les emporter d’emblée et qu’il est impossible de s’en rendre maître avec beaucoup de temps ».
 
« L’État le plus puissant du monde ne saurait se vanter de jouir d’un repos assuré s’il n’est pas en état de se garantir de tout temps d’une incursion imprévue et d’une surprise inopinée. Pour cet effet, il est nécessaire qu’un grand Royaume comme celui-ci ait toujours un corps de gens d’armes entretenu suffisant pour prévenir les desseins que la haine et l’envie pourraient former contre sa prospérité et sa grandeur lorsqu’on estime dans un repos assuré, ou, au moins, pour les étouffer dans leur naissance.
Qui a la force a souvent la raison en matière d’État, et celui qui est faible peut difficilement s’exempter d’avoir tort au jugement de la plus grande partie du monde. »
 
De la puissance maritime
 
Croyant éperdument à la thalassocratie, compte tenu de la configuration de la France tournée vers l’Atlantique, la Manche et la Méditerranée, Richelieu est un visionnaire et un novateur en la matière. Rompant radicalement avec la conception classique qui a antérieurement prévalu de puissance terrestre – qu’il ne néglige pas pour autant – il est le fondateur d’une marine moderne et puissante.
 
Elle lui sera d’une grande utilité au siège de La Rochelle.
 
En 1626, il prendre d’ailleurs la charge de « grand maître, chef et surintendant général de la navigation et commerce de France », puis d’amiral de France peu après [9].
 
En maître de l’État stratège, il a su favoriser le développement d’industries tournées vers les besoins de la marine : filière bois, arsenaux, corderies, drapiers et formations aux principes de la navigation des équipages. De même seront créées des écoles d’hydrographie et il sera rédigé un Code de droit maritime (Code Michau, 1629).
 
« La puissance des armes requiert non seulement que le Roi soit fort sur la terre, mais aussi qu’il soit puissant sur la mer.
(…) La mer est celui de tous les héritages sur lequel tous les souverains prétendent plus de part, et cependant c’est celui sur lequel les droits d’un chacun sont moins éclaircis. (…) En un mot, les titres de cette domination sont la force et non la raison : il faut être puissant pour prétendre à cet héritage. » [10]
 
(…) « Il semble que la nature ait voulu offrir l’empire de la mer à la France pour l’avantageuse situation de ses deux côtes également pourvuest d’excellents ports aux deux mers océane et Méditerranée ».
 
(…) « Si Votre Majesté a toujours dans ses ports quarante bons vaisseaux bien équipés prêts à mettre en mer aux occasions qui se présenteront, elle en saura suffisamment pour se garantir de toute injure et se faire craindre dans les mers par ceux qui jusqu’à présent y ont méprisé ses forces. »

(…) « Au reste, le nombre des vaisseaux que Votre Majesté désire entretenir ne diminuera pas, puisque les ateliers publics qu’elle a trouvé bon qu’on rétablisse en feront tous les ans autant qu’elle voudra. »
 
Mais au-delà de la crainte militaire vantée par le Cardinal, il voit dans la maîtrise des mers des débouchés commerciaux assurés et sécurisés, car la volonté du Cardinal ministre est avant tout d’obtenir la prospérité de la France, notamment en privilégiant les exportations et déjà l’autonomie stratégique.
 
« C’est un dire commun, mais véritable qu’ainsi que les États augmentent souvent leur étendue par la guerre, ils s’enrichissent ordinairement dans la paix par le commerce. »
 
(…) « La France est assez industrieuse pour se passer, si elle veut, des meilleures manufactures de ses voisins. On fait à Tours des pannes si belles qu’on les envoie en Italie, en Espagne et autres pays étrangers. Les taffetas unis qu’on y fait ont un si grand débit par toute la France qu’il n’est pas besoin d’en chercher ailleurs ; les velours rouges, violets et tannés s’y font maintenant plus beaux qu’à Gênes ; c’est quasi le seul endroit où il se fait des serges de soie ; les meilleures toiles d’or s’y font plus belles et à meilleur marché qu’en Italie.
Ainsi il nous sera fort aisé de nous priver de ce commerce qui ne peut nous servir qu’à fomenter notre fainéantise et nourrir notre luxe, pour nous attacher solidement à celui qui peut augmenter note abondance et occuper nos mariniers, de telle sorte que nos voisins ne se prévalent plus de nos travaux à nos dépens. »
 
(…) Si les sujets du Roi étaient forts en vaisseaux, ils pourraient faire tout le trafic du nord, que les Flamands et Hollandais ont attiré à eux, parce que, tout le nord ayant absolument besoin de vin, de vinaigre, d’eau-de-vie, de châtaignes, de prunes et de noix, toutes denrées dont le Royaume abonde et qui ne s’y peuvent consommer, il est aisé d’en faire un commerce. »
 
L’impôt pour financer l’État moderne
 
S’il fut népotique, tout à sa gloire et à façonner sa réputation, le Cardinal n’en fut pas pour autant prévaricateur, bien que n’ayant pas oublié de s’enrichir lui-même, et modéré sur l’impôt, contrairement à l’image qui a été laissée de lui.
 
Financer un État moderne nécessite de collecter un impôt sur les sujets. Il estime cependant que les deniers publics doivent être utilisés à bon escient, dans le cadre énoncé ci-dessus, pour la grandeur de la France, d’une part, et sa prospérité, d’autre part. Somme toute, il prétend mettre en place un cercle vertueux où les finances publiques assurent la sécurité économique et le développement commercial pays, permettant ainsi aux Français de s’enrichir tout en payant l’impôt qui en découle.
 
« On a toujours dit que les finances sont les nerfs de l’État et il est vrai que c’est le point d’Archimède qui, étant fermement établi, donne moyen de mouvoir tout le monde. 
Un prince nécessiteux ne saurait entreprendre aucune action glorieuse et, la nécessité engendrant le mépris, il ne saurait être en cet état sans être exposé à l’effort de ses ennemis et aux envieux de sa grandeur. »
 
(…) «  Les dépenses absolument nécessaires pour la subsistance de l’État étant assurées, le moins qu’on peut lever sur le peuple est le meilleur. Pour n’être pas contraint à faire de grandes levées, il faut peu dépenser et il n’y a pas de meilleurs moyens pour faire des dépenses modérées que de bannir toutes les profusions et condamner tous les moyens qui sont à cette fin. »
 
(…) « Le vrai moyen d’enrichir l’État est de soulager le peuple et décharger de l’une ou l’autre de ses charges en diminuant celles de l’État ; on peut diminuer les tailles et non autrement et, partant, c’est la principale fin qu’on se doit proposer dans le règlement de ce Royaume ».
 
In fine, selon l’historien Michel Carmona, Richelieu offrit à la France six valeurs supérieures : l’indépendance, une forte assise territoriale, la souveraineté, l’unité nationale, la tolérance et les bases de sa très proche hégémonie [11].

Olivier de MAISON ROUGE
Avocat, Docteur en droit
Dernier ouvrage paru : « Gagner la guerre économique. Plaidoyer pour une souveraineté économique et une indépendance stratégique » VA Editions, 2022
 
[1] RICHELIEU Cardinal de, Testament politique, Tempus Perrin, 2011
[2] RICHELIEU Cardinal de, Testament politique, Tempus Perrin, 2011, Chapitre 4e « Qui fait connaître combien la prévoyance est nécessaire au gouvernement d’un État »
[3] RICHELIEU Cardinal de, Testament politique, Tempus Perrin, 2011, Chapitre 5e, « Qui montre que la peine et la récompense sont deux principes tout à fait nécessaires à la conduite des États »
[4] RICHELIEU Cardinal de, Testament politique, Tempus Perrin, 2011, Chapitre 6e, « Qui fait voir qu’une négociation continuelle ne contribue pas peu aux bons succès des affaires »
[5] RICHELIEU Cardinal de, Testament politique, Tempus Perrin, 2011, Chapitre 7e « Qui fait connaître qu’un des plus grands avantages qu’on puisse procurer à un État est de destiner un chacun à l’emploi qui lui est propre »
[6] BLUCHE François, Richelieu, Perrin, 2003
[7] RICHELIEU Cardinal de, Testament politique, Tempus Perrin, 2011, Chapitre 9e « Qui traite de la puissance du prince »
[8] Cité par BLUCHE François, Richelieu, Perrin, 2003, p. 232
[9] BLUCHE François, Richelieu, Perrin, 2003
[10] RICHELIEU Cardinal de, Testament politique, Tempus Perrin, 2011, Chapitre 9e « Qui traite de la puissance du prince »
[11] CARMONA Michel, Richelieu. L’ambition et le pouvoir, Fayard, 1983


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