(c) Shutterstock/EconomieMatin
TF1, France Télévisions, M6 et Canal+, ainsi que l'association de lutte contre la piraterie audiovisuelle (Alpa), ont voulu marquer le coup en plein festival de Cannes. Pas question de retrouver sur les réseaux sociaux leurs contenus disponibles en consultation gratuite et sans autorisation.
La possibilité, de plus en plus facilitée, de mettre en ligne des vidés « va inévitablement conduire à accroître les mises en ligne de vidéos illicites et en particulier contrefaisantes d'œuvres audiovisuelles, cinématographiques et de programmes télévisés », écrivent les auteurs du courrier envoyé à Mark Zuckerberg (Facebook), Dick Costolo (Twitter) et transmis à Fleur Pellerin ministre de la Culture.
Ces mêmes acteurs étaient partis en guerre contre Dailymotion et YouTube, toujours pour les mêmes problèmes. Le problème, c’est que ces réseaux sociaux ne paient pas pour financer la création, au contraire des diffuseurs lésés. Pour pousser Facebook et Twitter à faire des efforts de vigilance, les chaînes expliquent qu’elles pourraient aller jusqu’au procès si les entreprises visées ne mettaient pas en place de mesures de sanctions.
La possibilité, de plus en plus facilitée, de mettre en ligne des vidés « va inévitablement conduire à accroître les mises en ligne de vidéos illicites et en particulier contrefaisantes d'œuvres audiovisuelles, cinématographiques et de programmes télévisés », écrivent les auteurs du courrier envoyé à Mark Zuckerberg (Facebook), Dick Costolo (Twitter) et transmis à Fleur Pellerin ministre de la Culture.
Ces mêmes acteurs étaient partis en guerre contre Dailymotion et YouTube, toujours pour les mêmes problèmes. Le problème, c’est que ces réseaux sociaux ne paient pas pour financer la création, au contraire des diffuseurs lésés. Pour pousser Facebook et Twitter à faire des efforts de vigilance, les chaînes expliquent qu’elles pourraient aller jusqu’au procès si les entreprises visées ne mettaient pas en place de mesures de sanctions.
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