La Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) explique dans un communiqué que bon nombre de commerces préfèrent « baisser le rideau » afin d’éviter les dégradations et les pillages. Ce faisant, ils se privent d’un chiffre d’affaires « dont ils ont tant besoin » et qui ne se « rattrape pas ». « Il est temps que cela cesse », réclame l’organisation, alors que la situation devient « plus catastrophique pour des milliers de commerçants ». La CPME déplore des dispositifs de soutien du gouvernement qui ne « changent rien » pour ces commerces.
La semaine dernière, Agnès Pannier-Runacher avait exhorté les commerçants et les artisans à faire appel aux mesures d’accompagnement mises en place par les pouvoirs publics, Parmi les dispositifs disponibles, on trouve le chômage partiel, les dérogations à la durée du travail ou le report d’échéances fiscales. La secrétaire d’État à l’Économie a relevé que les demandes d’aide demeuraient « extrêmement limitées ». La CPME a dénombré 70 000 personnes en activité partielle au sein de 5 000 entreprises. Une situation de plus en plus intenable qui fait craindre de « nombreuses défaillances ».
La Confédération soutient pourtant une partie des revendications des « gilets jaunes », notamment en ce qui touche les taxes et les impôts, ou encore les « réglementations tatillonnes ». Mais avec la crise qui dure, les commerçants sont condamnés à une « double peine ». Les « actes » hebdomadaires se suivent en tout cas, et ils entraînent avec eux les blocages et les violences.
La semaine dernière, Agnès Pannier-Runacher avait exhorté les commerçants et les artisans à faire appel aux mesures d’accompagnement mises en place par les pouvoirs publics, Parmi les dispositifs disponibles, on trouve le chômage partiel, les dérogations à la durée du travail ou le report d’échéances fiscales. La secrétaire d’État à l’Économie a relevé que les demandes d’aide demeuraient « extrêmement limitées ». La CPME a dénombré 70 000 personnes en activité partielle au sein de 5 000 entreprises. Une situation de plus en plus intenable qui fait craindre de « nombreuses défaillances ».
La Confédération soutient pourtant une partie des revendications des « gilets jaunes », notamment en ce qui touche les taxes et les impôts, ou encore les « réglementations tatillonnes ». Mais avec la crise qui dure, les commerçants sont condamnés à une « double peine ». Les « actes » hebdomadaires se suivent en tout cas, et ils entraînent avec eux les blocages et les violences.