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Les projections de l'Afa sont claires : entre 2014 et 2039, soit dans les 25 prochaines années, le coût des catastrophes naturelles en France devrait atteindre 92 milliards d'euros. C'est quasiment deux fois plus que le coût des catastrophes survenues sur la période 1988 – 2013. Une augmentation impressionnante qui est due à deux facteurs principaux.
Selon l'Afa la raison principale de cette augmentation prévisionnelle du coût des catastrophes est liée au niveau de vie des Français. Celui-ci s'est amélioré et s'améliorera ce qui entraîne l'achat de biens plus chers et donc plus coûteux à rembourser. Ce paramètre représenterait 43% de l'augmentation totale du coût des catastrophes.
Autre paramètre principale, et pour le coup beaucoup moins positif, c'est l'impact du réchauffement climatique. Il devrait y avoir, dans les 25 années à venir, plus de catastrophes que durant les 25 années passées. Une mauvaise nouvelle pour la France.
Cette différence dans le nombre de catastrophes coûtera 13 milliards d'euros sur les 44 milliards d'augmentation totale prévue par l'Afa, soit environ 30% du total. Sans surprise, selon l'association, ce seront les tempêtes, les inondations et les sécheresses qui frapperont le plus le pays et qui causeront le plus de dégâts, tout du moins matériels.
La sécheresse verrait son coût passer de 8 milliards d'euros sur la période 1988-2013 à 21 milliards sur la période 2014-2039 et les inondations de 16 milliards à 34 milliards.
Selon l'Afa la raison principale de cette augmentation prévisionnelle du coût des catastrophes est liée au niveau de vie des Français. Celui-ci s'est amélioré et s'améliorera ce qui entraîne l'achat de biens plus chers et donc plus coûteux à rembourser. Ce paramètre représenterait 43% de l'augmentation totale du coût des catastrophes.
Autre paramètre principale, et pour le coup beaucoup moins positif, c'est l'impact du réchauffement climatique. Il devrait y avoir, dans les 25 années à venir, plus de catastrophes que durant les 25 années passées. Une mauvaise nouvelle pour la France.
Cette différence dans le nombre de catastrophes coûtera 13 milliards d'euros sur les 44 milliards d'augmentation totale prévue par l'Afa, soit environ 30% du total. Sans surprise, selon l'association, ce seront les tempêtes, les inondations et les sécheresses qui frapperont le plus le pays et qui causeront le plus de dégâts, tout du moins matériels.
La sécheresse verrait son coût passer de 8 milliards d'euros sur la période 1988-2013 à 21 milliards sur la période 2014-2039 et les inondations de 16 milliards à 34 milliards.