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L'Espagne affiche une croissance dont la France ne peut que rêver mais elle paye encore cher le prix de la crise économique. Alors quand une prévision de croissance déjà très élevée s'avère être en-dessous de tout ce qu'estiment les analystes, ça ne peut faire que du bien. C'est le cas pour la croissance 2015 dans le pays.
Jusqu'à aujourd'hui le gouvernement tablait sur une croissance de 2%. Une prévision prudente, en-deçà du consensus. Mais le ministre de l'Economie espagnol, Louis de Guindos, n'est pas en position de décevoir et évite de promettre. Toutefois, cette fois, il a fait une exception.
Car jusqu'à présent les prévisions de croissance du pays ne tenaient pas compte de l'évolution du prix du pétrole et du change euro dollar. Or le prix du pétrole a chuté et l'euro avec... et rien ne semble inverser la tendance. Or, en prenant en compte ces deux paramètres, la croissance de l'Espagne pourrait être encore meilleure en 2015.
Selon le ministère de l'Economie espagnol, toujours prudent, les prix du pétrole et la chute de l'euro pourraient faire gagner 0,5% de croissance au pays ce qui porterait la croissance totale du PIB espagnol à 2,5% en 2015. Et là encore, c'est le bas de la fourchette.
Jusqu'à aujourd'hui le gouvernement tablait sur une croissance de 2%. Une prévision prudente, en-deçà du consensus. Mais le ministre de l'Economie espagnol, Louis de Guindos, n'est pas en position de décevoir et évite de promettre. Toutefois, cette fois, il a fait une exception.
Car jusqu'à présent les prévisions de croissance du pays ne tenaient pas compte de l'évolution du prix du pétrole et du change euro dollar. Or le prix du pétrole a chuté et l'euro avec... et rien ne semble inverser la tendance. Or, en prenant en compte ces deux paramètres, la croissance de l'Espagne pourrait être encore meilleure en 2015.
Selon le ministère de l'Economie espagnol, toujours prudent, les prix du pétrole et la chute de l'euro pourraient faire gagner 0,5% de croissance au pays ce qui porterait la croissance totale du PIB espagnol à 2,5% en 2015. Et là encore, c'est le bas de la fourchette.