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Ce n'est pas si étonnant que ça : à force de passer les journées à se côtoyer des sentiments peuvent naître sur le lieu de travail. C'est arrivé à 25% des salariés français selon le sondage. 7% d'entre eux seraient même tombés amoureux plusieurs fois. Les hommes semblent être plus sensibles aux charmes de leurs collègues féminines (29% déclarent avoir déjà trouvé l'amour) que l'inverse (21% des femmes seraient tombées amoureuses sur le lieu de travail). Et ce sont les Parisiens, avec 35% d'amoureux, qui détiennent le record de France.
L'amour, au sens large cette fois, est d'ailleurs un moteur principal pour les salariés qui sont 72% à estimer avoir besoin de se sentir aimés par leur patron et 76% par leurs collègues. Mais la relation d'amour patron salarié ne va que dans un sens : seuls 51% des interrogés "aiment" leur boss.
Toutefois, malgré une chute de 4 points sur un an, pas moins de 66% des salariés estiment aimer leur entreprise. Au plus haut, en 2000, ce sentiment était partagé par 79% des salariés français mais s'est dégradé.
Ce qui motive les salariés reste l'intérêt pour le travail qu'ils font (44%) l'autonomie et l'ambiance (28%), la rémunération et l'équilibre vie professionnelle vie personnelle (27%). Les perspectives de carrière, par contre, ne motivent que 13% des salariés français.
L'amour, au sens large cette fois, est d'ailleurs un moteur principal pour les salariés qui sont 72% à estimer avoir besoin de se sentir aimés par leur patron et 76% par leurs collègues. Mais la relation d'amour patron salarié ne va que dans un sens : seuls 51% des interrogés "aiment" leur boss.
Toutefois, malgré une chute de 4 points sur un an, pas moins de 66% des salariés estiment aimer leur entreprise. Au plus haut, en 2000, ce sentiment était partagé par 79% des salariés français mais s'est dégradé.
Ce qui motive les salariés reste l'intérêt pour le travail qu'ils font (44%) l'autonomie et l'ambiance (28%), la rémunération et l'équilibre vie professionnelle vie personnelle (27%). Les perspectives de carrière, par contre, ne motivent que 13% des salariés français.