Jeudi 27 novembre 2014 l’Opep s’est réunie pour décider de l’avenir du pétrole… et au final rien n’a été fait. L’Arabie Saoudite a refusé de réduire la production journalière de brut, actuellement de 30 millions de barils. Cette option était plébiscitée pour faire remonter le cours du pétrole, qui tourne actuellement à des niveaux historiquement bas, sur les 70 dollars le baril.
Mais l’annonce de l’Opep n’a fait qu’empirer les choses et le pétrole continue sa chute. Pour Murray Edwards, cette chute pourrait être telle que le baril descendra à 30 ou 40 dollars sur les marchés. Une chute historique qui ne devrait pas durer longtemps, selon lui, mais qui présente un risque.
L’Arabie Saoudite, en refusant de faire remonter le cours du pétrole lors de la réunion du 27 novembre, confirme sa volonté de réduire les marges des compagnies qui se sont lancées dans l’extraction du pétrole de schiste aux Etats-Unis. Avec un prix du baril très bas, l’extraction de ce type de pétrole n’est pas rentable et pourrait donc s’arrêter, rendant au pays du Moyen-Orient sa place de premier producteur mondial.
Murray Edwards en est conscient et il prévient déjà que si les programmes de forage déjà lancés par sa compagnie devraient continuer, il est possible que des projets futurs soient remis en question par l’évolution, à la baisse, du prix du baril.
Mais l’annonce de l’Opep n’a fait qu’empirer les choses et le pétrole continue sa chute. Pour Murray Edwards, cette chute pourrait être telle que le baril descendra à 30 ou 40 dollars sur les marchés. Une chute historique qui ne devrait pas durer longtemps, selon lui, mais qui présente un risque.
L’Arabie Saoudite, en refusant de faire remonter le cours du pétrole lors de la réunion du 27 novembre, confirme sa volonté de réduire les marges des compagnies qui se sont lancées dans l’extraction du pétrole de schiste aux Etats-Unis. Avec un prix du baril très bas, l’extraction de ce type de pétrole n’est pas rentable et pourrait donc s’arrêter, rendant au pays du Moyen-Orient sa place de premier producteur mondial.
Murray Edwards en est conscient et il prévient déjà que si les programmes de forage déjà lancés par sa compagnie devraient continuer, il est possible que des projets futurs soient remis en question par l’évolution, à la baisse, du prix du baril.