La semaine précédant la réunion de l'Opep du 17 avril 2016 les marchés avaient repris espoir : la crise du pétrole commençant à peser sur les pays producteurs autant qu'elle a pesé sur les pétroliers, il y avait de bonnes chances pour qu'un accord soit trouvé. Les espoirs avaient été renforcés par la Russie qui avait annoncé qu'un accord a minima avec l'Arabie Saoudite serait trouvé même en cas de désaccord avec l'Iran.
Dimanche 17 avril 2016, toutefois, rien ne s'est passé comme prévu : l'Iran, en signe de désaccord, ne s'est pas présenté à la réunion et l'Arabie Saoudite a, de son côté, déclaré qu'elle n'allait signer aucun accord sans que l'Iran y participe. Au final, donc, la réunion s'est soldée par un échec cuisant.
Sur les marchés la nouvelle a immédiatement fait chuter le prix du brut : après avoir clos à -7 % sur les marchés asiatiques, le pétrole continue sa chute sur les marchés occidentaux. Le WTI perdait 3,07 % à la mi-séance lundi 18 avril 2016 repassant sous la barre des 40 dollars, le Brent chutait de 2,58 %.
Pour les analystes l'échec de cet accord à Doha pourrait signer une nouvelle phase de baisse avec des prix du pétrole qui pourraient repasser sous la barre symbolique des 30 dollars.
Dimanche 17 avril 2016, toutefois, rien ne s'est passé comme prévu : l'Iran, en signe de désaccord, ne s'est pas présenté à la réunion et l'Arabie Saoudite a, de son côté, déclaré qu'elle n'allait signer aucun accord sans que l'Iran y participe. Au final, donc, la réunion s'est soldée par un échec cuisant.
Sur les marchés la nouvelle a immédiatement fait chuter le prix du brut : après avoir clos à -7 % sur les marchés asiatiques, le pétrole continue sa chute sur les marchés occidentaux. Le WTI perdait 3,07 % à la mi-séance lundi 18 avril 2016 repassant sous la barre des 40 dollars, le Brent chutait de 2,58 %.
Pour les analystes l'échec de cet accord à Doha pourrait signer une nouvelle phase de baisse avec des prix du pétrole qui pourraient repasser sous la barre symbolique des 30 dollars.