Dans un entretien accordé au journal Les Echos publié jeudi 1er septembre 2016 l'ancien président de la République et candidat à la primaire de la droite a vivement critiqué le chantier à peine ouvert du prélèvement à la source. Pour Nicolas Sarkozy la réforme serait loin d'être une simplification comme le présente la gauche. Il estime que cela contraindra les entreprises à encore plus d'administratif ce qui revient à en augmenter les charges et les coûts de fonctionnement.
De plus, l'ancien président pointe du doigt que le prélèvement à la source ne va pas exonérer de nombreux ménages de la déclaration annuelle des revenus : les revenus fonciers, les pensions ou encore les exonérations diverses devront être déclarée à part puisque l'employeur n'a pas accès à ces informations.
Jeudi 1er septembre 2016, soit quelques heures après la parution de cet entretien, le nouveau ministre de l'Economie et des Finances, Michel Sapin, est revenu sur les propos de Nicolas Sarkozy lors d'une conférence de presse. Pour lui, les déclaration du candidat à la primaire de la droite ne sont que "simplisme politicien".
Il estime que Nicolas Sarkozy veut supprimer la réforme pour la seule raison qu'elle a été proposée par la gauche et donc non par son parti. Or, il rappelle que la droite avait déjà fait part de ce projet à plusieurs reprises sans le porter à terme.
De plus, l'ancien président pointe du doigt que le prélèvement à la source ne va pas exonérer de nombreux ménages de la déclaration annuelle des revenus : les revenus fonciers, les pensions ou encore les exonérations diverses devront être déclarée à part puisque l'employeur n'a pas accès à ces informations.
Jeudi 1er septembre 2016, soit quelques heures après la parution de cet entretien, le nouveau ministre de l'Economie et des Finances, Michel Sapin, est revenu sur les propos de Nicolas Sarkozy lors d'une conférence de presse. Pour lui, les déclaration du candidat à la primaire de la droite ne sont que "simplisme politicien".
Il estime que Nicolas Sarkozy veut supprimer la réforme pour la seule raison qu'elle a été proposée par la gauche et donc non par son parti. Or, il rappelle que la droite avait déjà fait part de ce projet à plusieurs reprises sans le porter à terme.