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Si depuis 2014 le nombre de morts sur les routes est en augmentation, ce qui inverse la tendance baissière connue durant la décennie précédente, l'année 2016 s'ouvre avec un bon résultat. En janvier 2016 233 personnes ont perdu la vie sur les routes de France, soit 28 de moins que le premier mois de l'année 2015. Une baisse de 10,7 % dont se félicite le gouvernement mais qui cache, toutefois, une hausse.
En janvier 2016, en effet, le nombre d'accidents corporels a augmenté de 5,2 % par rapport à janvier 2015 tout comme le nombre de blessés : +2,7 % sur un an, à 5 693 personnes. Le nombre de blessés hospitalisés aussi augmente : +11,1 % sur un an. La baisse de la mortalité de janvier 2016 est donc toute relative, le risque d'accidents sur les routes de France reste très élevé.
Le gouvernement a donc lancé un plan majeur consistant, notamment, à augmenter le nombre de radars sur les routes de France. Il a également commencé le déploiement des radars leurres, de faux radars qui ne flashent pas mais qui auraient le même impact sur les automobilistes, à savoir leur faire réduire la vitesse.
Les contrôles sont également plus poussés sur les routes de l'Hexagone : la police dépiste désormais quasi-systématiquement les stupéfiants, en cause dans 25 % des accidents mortels survenus durant l'année 2015.
En janvier 2016, en effet, le nombre d'accidents corporels a augmenté de 5,2 % par rapport à janvier 2015 tout comme le nombre de blessés : +2,7 % sur un an, à 5 693 personnes. Le nombre de blessés hospitalisés aussi augmente : +11,1 % sur un an. La baisse de la mortalité de janvier 2016 est donc toute relative, le risque d'accidents sur les routes de France reste très élevé.
Le gouvernement a donc lancé un plan majeur consistant, notamment, à augmenter le nombre de radars sur les routes de France. Il a également commencé le déploiement des radars leurres, de faux radars qui ne flashent pas mais qui auraient le même impact sur les automobilistes, à savoir leur faire réduire la vitesse.
Les contrôles sont également plus poussés sur les routes de l'Hexagone : la police dépiste désormais quasi-systématiquement les stupéfiants, en cause dans 25 % des accidents mortels survenus durant l'année 2015.