Forcément, ce n'est pas le montant de ce prétendu parachute doré qui fait scandale. 3 millions d'euros, au fond, ce n'est pas grand-chose... si le groupe Vivarte allait bien. Sauf que c'est loin d'être le cas et cette révélation survient au lendemain de l'annonce de 1600 suppressions de postes et plus de 150 fermetures de magasins chez Vivarte.
Selon Le Parisien, qui publie cette information ce jeudi 9 avril 2015, Marc Lelandais aurait touché "un bonus de restructuration d'un montant de 1 million d'euros", "une indemnité de sortie de 1 million d'euros" et "1,075 million d'euros pour solde de tout compte". Total, donc, 3,075 millions d'euros. Au lendemain d'une restructuration massive une telle information ne fait pas la part belle au groupe Vivarte.
Mais peut-être que Le Parisien s'est trompé. C'est en tout cas ce que soutient le principal intéressé, Marc Lelandais, qui a publié un communiqué au sujet de ces révélations. "Le document présenté est erroné et ne correspond pas à mes indemnités de départ" a-t-il déclaré avant de préciser qu'il a " mené avec succès la restructuration financière de ce groupe qui a conduit à l’annulation de deux milliards de dettes et l’apport sous la contrainte d’une procédure de conciliation de 500 millions de cash".
Marc Lelandais affirme que son départ du groupe n'est dû qu'à " de fortes divergences de méthodes avec les fonds créanciers devenus actionnaires."
Selon Le Parisien, qui publie cette information ce jeudi 9 avril 2015, Marc Lelandais aurait touché "un bonus de restructuration d'un montant de 1 million d'euros", "une indemnité de sortie de 1 million d'euros" et "1,075 million d'euros pour solde de tout compte". Total, donc, 3,075 millions d'euros. Au lendemain d'une restructuration massive une telle information ne fait pas la part belle au groupe Vivarte.
Mais peut-être que Le Parisien s'est trompé. C'est en tout cas ce que soutient le principal intéressé, Marc Lelandais, qui a publié un communiqué au sujet de ces révélations. "Le document présenté est erroné et ne correspond pas à mes indemnités de départ" a-t-il déclaré avant de préciser qu'il a " mené avec succès la restructuration financière de ce groupe qui a conduit à l’annulation de deux milliards de dettes et l’apport sous la contrainte d’une procédure de conciliation de 500 millions de cash".
Marc Lelandais affirme que son départ du groupe n'est dû qu'à " de fortes divergences de méthodes avec les fonds créanciers devenus actionnaires."