Hassan Rohani, le président iranien, avait évoqué cette possibilité en novembre dernier avant sa visite en France. Il avait à l'époque expliqué : « Nous avons aujourd'hui même des Airbus, il y a d'autres compagnies aussi qui nous vendent des avions. Ces grandes compagnies, notamment Airbus sont présentes en Iran. Nous achèterons c'est vrai de ces grandes compagnies, notamment Airbus ».
Une délégation française s'est rendue à Téhéran ces derniers mois afin de négocier et de finaliser l'accord (d'autres domaines sont également sur la table, comme les transports, l'industrie, l'automobile…). Ce contrat important avec Airbus est un nouveau signe de la volonté de l'Iran de s'inscrire de nouveau pleinement dans le concert des nations.
L'avionneur européen avait tout de même pris soin d'annoncer son intention de ne pas s'engager dans des discussions avec les autorités iraniennes avant la levée des sanctions. Les portes sont désormais ouvertes et ce premier contrat en appelle visiblement d'autres.
Une délégation française s'est rendue à Téhéran ces derniers mois afin de négocier et de finaliser l'accord (d'autres domaines sont également sur la table, comme les transports, l'industrie, l'automobile…). Ce contrat important avec Airbus est un nouveau signe de la volonté de l'Iran de s'inscrire de nouveau pleinement dans le concert des nations.
L'avionneur européen avait tout de même pris soin d'annoncer son intention de ne pas s'engager dans des discussions avec les autorités iraniennes avant la levée des sanctions. Les portes sont désormais ouvertes et ce premier contrat en appelle visiblement d'autres.