Selon le rapport de l'Insee, le nombre de personnes pauvres s'établissait en 2016 à 8,8 millions. Ils représentent 14% de la population. Une personne est considéré comme pauvre si elle perçoit moins de 1 026 euros par mois (c'est moins de 60% du revenu médian en France). En fonction de l'âge et de l'activité, le pourcentage est différent ; ainsi, 19,8% des moins de 18 ans sont pauvres, soit un enfant sur cinq. 38,3% des chômeurs sont pauvres, 7,7% des actifs « occupés », et 6,4% des salariés.
La situation est particulièrement difficile au sein des familles monoparentales : 34,8% d'entre elles sont en effet pauvres, soit 2 millions de personnes. Un niveau quatre fois plus élevé que chez les couples avec un ou deux enfants. La présence de trois enfants au foyer augmente le taux de pauvreté qui passe alors à 23,9%. L'institut des statistiques relève néanmoins que le taux de pauvreté baisse de 0,2 point par rapport à celui de 2015. C'est la prime d'activité, créée en 2016, qui a permis de sortir ces personnes de la pauvreté, précise l'organisme. Une prime qui s'ajoute à la rémunération des travailleurs aux revenus modestes.
Autre point relativement positif, le niveau de vie médian a légèrement augmenté, en fait il retrouve son niveau d'avant la crise de 2008, à 1 710 euros par mois (+0,9% par rapport à 2016). Plus réjouissant : 30% des ménages aux revenus les plus modestes ont vu leur revenu médian progresser plus que la moyenne (de 1,4 à 1,5% de mieux).
La situation est particulièrement difficile au sein des familles monoparentales : 34,8% d'entre elles sont en effet pauvres, soit 2 millions de personnes. Un niveau quatre fois plus élevé que chez les couples avec un ou deux enfants. La présence de trois enfants au foyer augmente le taux de pauvreté qui passe alors à 23,9%. L'institut des statistiques relève néanmoins que le taux de pauvreté baisse de 0,2 point par rapport à celui de 2015. C'est la prime d'activité, créée en 2016, qui a permis de sortir ces personnes de la pauvreté, précise l'organisme. Une prime qui s'ajoute à la rémunération des travailleurs aux revenus modestes.
Autre point relativement positif, le niveau de vie médian a légèrement augmenté, en fait il retrouve son niveau d'avant la crise de 2008, à 1 710 euros par mois (+0,9% par rapport à 2016). Plus réjouissant : 30% des ménages aux revenus les plus modestes ont vu leur revenu médian progresser plus que la moyenne (de 1,4 à 1,5% de mieux).