(c) Shutterstock/EconomieMatin
Le cabinet Deloitte a dévoilé une étude sur le marché africain du smartphone, qui prouve si besoin était que la croissance future des fabricants mobiles était à chercher ici. D’ici 2017, le nombre d’appareils connectés sur le contient sera de 350 millions d’unités, le double d’aujourd’hui. En 2015, il devrait se vendre 70 millions de smartphones, soit 40% de plus qu’en 2014.
Les smartphones à bas coût stimulent un marché friand de nouvelles technologies abordables. La couverture réseau en haut débit ainsi que les coûts de connexion en chute propulsent la croissance africaine et attise les appétits. Les constructeurs ont bien compris tout l’intérêt qu’ils avaient à développer des produits peu onéreux.
Microsoft et Google ont tous deux annoncé des smartphones à moins de 100$ qui ne sacrifient pas pour autant leurs fonctionnalités. Ces terminaux sont souvent les seuls appareils capables de se connecter à internet; ils servent d’objets numériques à tout faire, notamment pour le paiement mobile qui se démocratise à grande vitesse. À elle seule, l’Afrique concentre 52% des transactions mondiales via le téléphone portable.
Les smartphones à bas coût stimulent un marché friand de nouvelles technologies abordables. La couverture réseau en haut débit ainsi que les coûts de connexion en chute propulsent la croissance africaine et attise les appétits. Les constructeurs ont bien compris tout l’intérêt qu’ils avaient à développer des produits peu onéreux.
Microsoft et Google ont tous deux annoncé des smartphones à moins de 100$ qui ne sacrifient pas pour autant leurs fonctionnalités. Ces terminaux sont souvent les seuls appareils capables de se connecter à internet; ils servent d’objets numériques à tout faire, notamment pour le paiement mobile qui se démocratise à grande vitesse. À elle seule, l’Afrique concentre 52% des transactions mondiales via le téléphone portable.
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