Les 10, 11, 12 et 13 janvier sont les jours choisis par Alter, un syndicat qui représente 10% des voix aux élections professionnelles. Il s’agit ici de protester contre la mesure disciplinaire prise par Air France à l’encontre de deux pilotes, qui auraient facilité le passage à des manifestants lors du houleux comité central d’entreprise du 5 octobre dernier.
Ces pilotes sont certes mis à pied, mais ils continuent de percevoir leur solde. Malgré tout, Alter est très remonté contre l’entreprise et sa décision qualifiée de « scandaleuse ». La CGT appelle elle à faire grève le 28 janvier pour forcer l’arrêt des poursuites judiciaires envers les personnels accusés de « violence en réunion ».
La centrale exige aussi l’arrêt des licenciements. Air France compte en effet procéder au licenciement de 3 000 salariés dans les deux ans à venir, dont un millier qui sont d’ores et déjà programmés pour l’année prochaine. Le reste est suspendu à un accord entre Air France et des pilotes qui ne veulent rien abandonner. Les négociations, qui devraient aboutir en février, restent donc particulièrement serrées.
Ces pilotes sont certes mis à pied, mais ils continuent de percevoir leur solde. Malgré tout, Alter est très remonté contre l’entreprise et sa décision qualifiée de « scandaleuse ». La CGT appelle elle à faire grève le 28 janvier pour forcer l’arrêt des poursuites judiciaires envers les personnels accusés de « violence en réunion ».
La centrale exige aussi l’arrêt des licenciements. Air France compte en effet procéder au licenciement de 3 000 salariés dans les deux ans à venir, dont un millier qui sont d’ores et déjà programmés pour l’année prochaine. Le reste est suspendu à un accord entre Air France et des pilotes qui ne veulent rien abandonner. Les négociations, qui devraient aboutir en février, restent donc particulièrement serrées.