L'EASA, l'agence européenne de la sécurité aérienne, a émis une directive de navigatabilité d'urgence, ayant constaté « plusieurs arrêts moteur en vol ainsi que des interruptions de décollage ont été rapportés » sur des Aribus A320neo équipés de moteurs Pratt & Whitney. Une trentaine d'entre eux — soit un ou deux par avion — sont concernés par ce problème technique. Onze avions sont en attente de moteurs de remplacement, sur un total de 113 appareils exploités par 18 compagnies aériennes.
Des compagnies ont décidé de retarder l'arrivée de l'A320neo dans leurs flottes, a confirmé Airbus auprès de l'AFP. Le constructeur agit « au cas par cas ». Airbus et son partenaire américain Pratt & Whitney ont identifié un problème au niveau du moteur qui équipe l'avion. On ignore pour le moment l'origine du souci, qui serait apparu fin janvier. Malheureusement pour l'équipementier américain, ce n'est pas la première fois que ses moteurs présentent des problèmes : déjà l'an dernier, ils ont provoqué des retards de livraison.
Voilà qui n'arrange pas les affaires d'Airbus qui n'a pour le moment pu livrer que 181 A320neo sur les 200 qui auraient dû être fournis aux clients de l'avionneur. Le retard provoqué par cette nouvelle avarie ne fera rien pour améliorer les délais de livraison, qui sont de nature à dégrader l'image de marque de l'entreprise. Dans ces conditions, on comprend qu'Airbus exige du motoriste la solution la plus rapide possible.
Des compagnies ont décidé de retarder l'arrivée de l'A320neo dans leurs flottes, a confirmé Airbus auprès de l'AFP. Le constructeur agit « au cas par cas ». Airbus et son partenaire américain Pratt & Whitney ont identifié un problème au niveau du moteur qui équipe l'avion. On ignore pour le moment l'origine du souci, qui serait apparu fin janvier. Malheureusement pour l'équipementier américain, ce n'est pas la première fois que ses moteurs présentent des problèmes : déjà l'an dernier, ils ont provoqué des retards de livraison.
Voilà qui n'arrange pas les affaires d'Airbus qui n'a pour le moment pu livrer que 181 A320neo sur les 200 qui auraient dû être fournis aux clients de l'avionneur. Le retard provoqué par cette nouvelle avarie ne fera rien pour améliorer les délais de livraison, qui sont de nature à dégrader l'image de marque de l'entreprise. Dans ces conditions, on comprend qu'Airbus exige du motoriste la solution la plus rapide possible.
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